Mondes-Perdus.Malade-Palpitant
Putain de bulle à toi aussi...
Vendredi 25 septembre 2009 à 23:56
Je promène mes doigts sur ce clavier que je n'utilise plus que pour écrire des phrases inutiles. J'ai décidé de foutre mes pensées en l'air sur du papier virtuelle. Je me pose, me repose et me dépose sur le blanc-futur-noir. Rien ne va plus, la roulette tourne et les jeux sont fait. Le tout à l'envers, pour arranger l'affaire. Pas le courage de faire dans le beau, et pas le talent surtout. Comme elle vient, la fatigue. Comme elle vient, la déprime... Un jour en France et l'envie de continuer chaque jour dans ce bateau éducatif qui prend l'eau, ou qui est déjà sous l'eau, me fait penser à un Enfer. Revoir chaque jour eux. Ne plus le revoir chaque soir lui. Ne pas pouvoir la voir elle. Pouvoir savourer chaque minutes elles. Devoir supporter lui et eux et moi. Mais au final se rendre au lit avec une sensation de pas assez vu. Rien ne suffit à sa peine, rien ne suffit chaque jour pour soi, rien. Et pourquoi non ? Pourquoi fichtre de merde ! Caracas à trente euros. Pinte à cinquante centimes. Facebook à deux balles. Facebook ? Qu'est-ce ? Je n'en sais rien, et tout à l'air de tourner autour de lui. A croire que les futures réunions entre amis se feront autour d'un virtu-verre pour un virtu-tchin.
"Une piscine là où vous ne pensiez jamais en installer une ! www.Waterair.fr/" De 99F, je n'ai retenu que peu de chose : "La vie, laisse-la à tes amis" ; que McCartney avait un sosie, mais que le vrai est sur une île déserte à échanger ses liquides personnelles entre gens anciennement connus ; Octave écrit un bouquin pour se faire virer parce qu'il a rompu avec Sophie car elle est enceinte. Ce doit être une belle vie, celle où tu n'es qu'un héros de roman. Les plus importants moments de ta vie rendu artistiques, et le reste on s'en fout. Rien que le fait de dire telle chose ou une autre montre une nuance par rapport à telle chose produite ou envie désirée. Avec un peu de chance, le bouquin devient célèbre et l'analyse de ton comportement est calculé mot par mot, lettre par lettre. Mais le faire en vie réelle, si t'es pas un personnage de livre, de film ou de théâtre, c'est foutu. Il faudrait ton jumeau pour le remarquer. Quelqu'un qui te connait depuis ton enfance, à qui tu racontes tout ce que tu penses et qui te suit partout. Ton ombre est ça.
G2tête et pourquoi pas ? Si ça peut vous faire plaisir madame. En attendant je dessine en prévision d'un dossier. Au revoir madame. C'est cela ouiii... Et pourquoi pas ? Et pourquoi pas enfin tout foutre en l'air, et pas que virtuellement ? Pourquoi pourquoi puouroiq pourqoiru Plus rien de tangible ou de solide à quoi se retenir dans l'absolue, mais plus que du relatif à tout le monde.
"Le bonheur c'est comme la bourse, sauf que tu peux pas vendre tes actions..." Honte à moi de l'avoir plagié... "Inscris-toi à une assurance bonheur !" Mais sale con que je peux être en permanence, il n'y a donc que dans devant un écran que tu peux dire une tonne de chose sans pour autant te croire égocentrique ? Non, même ainsi, je persiste à cacher un bout de moi. Supposons que quelqu'un qui me connait tombe sur ce blog ! Horreur ! Tout est découvert, s'il me connait suffisamment. Et ben zut ! Il ou elle n'a qu'à lire s'il ou elle le veut. Et si elle ou il ne le fait pas, tant pis aussi ! Qui ira chercher un Elsacien nommé Aimepé sur un site Cowblog quand il n'a pas lieu d'être là ? Peut-être le montrerai-je un jour à la Dictatrice ? Sa propagande ne marche plus lorsque la capitale se déplace... Je suis libre, je suis perdu. J'étais conditionné, je le suis toujours, mais dans un espace plus important.
Et la phrase finale qui fait tout : ce n'est pas parce que l'Homme se révèle majoritairement et quotidiennement con qu'il l'est de nature. Ainsi, ne pas s'y intéresser, c'est le laisser dans sa merde. Monsieur J. PL vous y penserez à l'avenir, avant de donner des conseils à une femme en deuil permanent.
"Une piscine là où vous ne pensiez jamais en installer une ! www.Waterair.fr/" De 99F, je n'ai retenu que peu de chose : "La vie, laisse-la à tes amis" ; que McCartney avait un sosie, mais que le vrai est sur une île déserte à échanger ses liquides personnelles entre gens anciennement connus ; Octave écrit un bouquin pour se faire virer parce qu'il a rompu avec Sophie car elle est enceinte. Ce doit être une belle vie, celle où tu n'es qu'un héros de roman. Les plus importants moments de ta vie rendu artistiques, et le reste on s'en fout. Rien que le fait de dire telle chose ou une autre montre une nuance par rapport à telle chose produite ou envie désirée. Avec un peu de chance, le bouquin devient célèbre et l'analyse de ton comportement est calculé mot par mot, lettre par lettre. Mais le faire en vie réelle, si t'es pas un personnage de livre, de film ou de théâtre, c'est foutu. Il faudrait ton jumeau pour le remarquer. Quelqu'un qui te connait depuis ton enfance, à qui tu racontes tout ce que tu penses et qui te suit partout. Ton ombre est ça.
G2tête et pourquoi pas ? Si ça peut vous faire plaisir madame. En attendant je dessine en prévision d'un dossier. Au revoir madame. C'est cela ouiii... Et pourquoi pas ? Et pourquoi pas enfin tout foutre en l'air, et pas que virtuellement ? Pourquoi pourquoi puouroiq pourqoiru Plus rien de tangible ou de solide à quoi se retenir dans l'absolue, mais plus que du relatif à tout le monde.
"Le bonheur c'est comme la bourse, sauf que tu peux pas vendre tes actions..." Honte à moi de l'avoir plagié... "Inscris-toi à une assurance bonheur !" Mais sale con que je peux être en permanence, il n'y a donc que dans devant un écran que tu peux dire une tonne de chose sans pour autant te croire égocentrique ? Non, même ainsi, je persiste à cacher un bout de moi. Supposons que quelqu'un qui me connait tombe sur ce blog ! Horreur ! Tout est découvert, s'il me connait suffisamment. Et ben zut ! Il ou elle n'a qu'à lire s'il ou elle le veut. Et si elle ou il ne le fait pas, tant pis aussi ! Qui ira chercher un Elsacien nommé Aimepé sur un site Cowblog quand il n'a pas lieu d'être là ? Peut-être le montrerai-je un jour à la Dictatrice ? Sa propagande ne marche plus lorsque la capitale se déplace... Je suis libre, je suis perdu. J'étais conditionné, je le suis toujours, mais dans un espace plus important.
Et la phrase finale qui fait tout : ce n'est pas parce que l'Homme se révèle majoritairement et quotidiennement con qu'il l'est de nature. Ainsi, ne pas s'y intéresser, c'est le laisser dans sa merde. Monsieur J. PL vous y penserez à l'avenir, avant de donner des conseils à une femme en deuil permanent.
Divulgé par Aimepe
Mardi 1er septembre 2009 à 14:14
C'est pour un jour, ou juste pour toujours ?
Sûrement pas plus d'un battement...
Divulgé par Aimepe
Lundi 15 juin 2009 à 23:06
J'avais trouvé une bonne phrase pour ce fichu pourtant ! Alors tant pis, j'en ai une tonne d'autre ! On va dire "Facteur, meurs en silence avec ton courrier dans les flots longoureux de la brûlante Afrique..." ou "Surveillant, que tu renonces à tes dires, malgré le fait qu'il soit bien trop tard pour nous sauver tous de ce plongeon, que certain avait déjà réalisé". Trop long peut-être... Ou bien trop mystérieux... D'façon j'm'en balance comme de ma seconde paire de chaussette ! (Les premières je les garde en collector.)
Une seule semaine d'amour, et un jour pour comprendre que c'était juste le fait de se sentir apprécié. Manipulation ? Non-intentionnel ? Je ne pense pas. C'est juste encore mon imagination qui bosse trop dans le sentimental. Maintenant c'est passé, et c'est totalement passé ! J'ai beau la voir, la regarder, je ne retrouve plus une seule once de charme dans son sourire vide remplit de chagrin, ou dans ses yeux souriants, cachant son malheur.
D'façon, le plus important maintenant, c'est ce foutu BAC de Français... Dans l'optique d'étude supérieur où je serai préalablement refusé à cause d'un mauvais dossier scolaire : résultats moyen voire tout juste passable, renvoi de l'internat en fin de première (la veille du dernier jour, c'est balot non ?) et je ne pense pas, ne m'attends pas à recevoir de mention au BAC en général... Donc je vais rester dans ma vision d'artiste parisien sans le sou épicurien, vivant au jour le jour, peignant des paysages à longueur de journée pour gagner trois pièces misérables et répugnantes avec lesquelles j'acheterai ma survie du jour, jouant un peu de guitare dans la rue où seul des jeunes passeront, sans me regarder ou jettant un regard de pitié sur moi, que je recevrais en même temps que la pensée d'un futur peut-être proche et peut-être plus heureux d'artiste reconnu... Et ben non, mesdames mesdemoiselles messieurs, l'artiste d'aujourd'hui ne vous fera pas un beau petit spectacle agréable mais va plutôt aller se coucher pour tenter de minimiser les choses désagréables qu'est l'Éducation Nationale, son organisation et ses principes.
Sur ce, bonne fête chez vous, et que la magie de Noël y opère autant qu'elle a opèré pour moi, car malgré les déboires internatesques, je passe tout de même en classe supérieur, la terminale !
Ai-je raison d'être heureux pour cela si je ne crois pas en cela ?
Post-Scriptum : faut vraiment que je commence à réécrire pour les Mondes Perdus...
Une seule semaine d'amour, et un jour pour comprendre que c'était juste le fait de se sentir apprécié. Manipulation ? Non-intentionnel ? Je ne pense pas. C'est juste encore mon imagination qui bosse trop dans le sentimental. Maintenant c'est passé, et c'est totalement passé ! J'ai beau la voir, la regarder, je ne retrouve plus une seule once de charme dans son sourire vide remplit de chagrin, ou dans ses yeux souriants, cachant son malheur.
D'façon, le plus important maintenant, c'est ce foutu BAC de Français... Dans l'optique d'étude supérieur où je serai préalablement refusé à cause d'un mauvais dossier scolaire : résultats moyen voire tout juste passable, renvoi de l'internat en fin de première (la veille du dernier jour, c'est balot non ?) et je ne pense pas, ne m'attends pas à recevoir de mention au BAC en général... Donc je vais rester dans ma vision d'artiste parisien sans le sou épicurien, vivant au jour le jour, peignant des paysages à longueur de journée pour gagner trois pièces misérables et répugnantes avec lesquelles j'acheterai ma survie du jour, jouant un peu de guitare dans la rue où seul des jeunes passeront, sans me regarder ou jettant un regard de pitié sur moi, que je recevrais en même temps que la pensée d'un futur peut-être proche et peut-être plus heureux d'artiste reconnu... Et ben non, mesdames mesdemoiselles messieurs, l'artiste d'aujourd'hui ne vous fera pas un beau petit spectacle agréable mais va plutôt aller se coucher pour tenter de minimiser les choses désagréables qu'est l'Éducation Nationale, son organisation et ses principes.
Sur ce, bonne fête chez vous, et que la magie de Noël y opère autant qu'elle a opèré pour moi, car malgré les déboires internatesques, je passe tout de même en classe supérieur, la terminale !
Ai-je raison d'être heureux pour cela si je ne crois pas en cela ?
Post-Scriptum : faut vraiment que je commence à réécrire pour les Mondes Perdus...
Divulgé par Aimepe
Dimanche 31 mai 2009 à 1:17
De nouveau, ce sentiment s'est installé... Ce n'est pas toi, ni elle, ni lui et encore moins les autres... C'est juste Elle. Tout simplement. Trop simplement...
J'ai un don certain pour trouver les femmes qui vont faire de ma vie un enfer parce que je n'oserai pas les aborder facilement. Un don pour les trouver, pour croire que cette fois je serai assez courageux pour leur parler directement. Un don pour toujours faire passer le temps, avec un mal-être, sans jamais leur avouer... Et un don pour croire à la "Princesse Charmante".
Et pourtant non, ce n'est pas toujours à elle de faire le premier pas. Et si, par un miracle, elle marche en première dans ma direction, la même plaque reste sous mes pieds. Je n'avance pas, je ne recule pas, j'attends. J'attends qu'elle fasse la suite. Je l'attends... Pourquoi ? Plainte de mon coeur : Pourquoi ?
Et je me retrouve à me plaindre ici... À trois semaines d'un oral de français, et à un mois de l'écrit... À me plaindre de moi... Ça doit être fatiguant à la fin ! Promis, dans ma prochaine vie, je serai une femme !
Mais y a pourtant du bon dans ce côté d'amoureux timide et maladroit : je tente de faire plaisir aux autres... Dire que je lui ai fait du mal indirectement, à Elle... Pourquoi dois-je toujours faire du mal aux gens que j'aime ? Ils en ont tous fait l'expérience ! Mes mots sont volants, insoucieux et irréfléchis. Ils la touchent par "pas mourir avant de rejoindre la Bretagne". Par "je ne sais pas si ça le changera pour autant", ou par "d'accord". Et encore ce verre à la main, je me revoie le faire bouger circulairement, en l'entendant dire "c'est pas du vin" et en riant... L'eau possède pourtant ce côté de sobriété agréable pour voir en face de soi celle qu'on aime.
Mardi, peut-être... Mercredi, du tout, et le reste j'en sais rien. Je ne veux rien savoir. Je veux juste en parler à la fille qui fume par terre. Elle m'écoutera dans la nuit et me posera une, deux, dix, cent questions. J'y répondrai ou non. On parlera, je parlerai et je lui demanderai sa vie. Ça sera passionnant, mais il me manquera la présence d'Elle. Elle sera p'têt à côté, p'têt dans son lit, p'têt dans la chambre voisine, pendant que je parlerai d'elle à la fumeuse perdue dans la terre et sur Terre, qui sait sûrement mieux que d'autre où elle va.
Rien que des mots... Faut vraiment que j'arrête de me prendre pour un artiste-né...
Je ne suis pas Dieu.
J'ai pourtant failli le croire...
J'ai un don certain pour trouver les femmes qui vont faire de ma vie un enfer parce que je n'oserai pas les aborder facilement. Un don pour les trouver, pour croire que cette fois je serai assez courageux pour leur parler directement. Un don pour toujours faire passer le temps, avec un mal-être, sans jamais leur avouer... Et un don pour croire à la "Princesse Charmante".
Et pourtant non, ce n'est pas toujours à elle de faire le premier pas. Et si, par un miracle, elle marche en première dans ma direction, la même plaque reste sous mes pieds. Je n'avance pas, je ne recule pas, j'attends. J'attends qu'elle fasse la suite. Je l'attends... Pourquoi ? Plainte de mon coeur : Pourquoi ?
Et je me retrouve à me plaindre ici... À trois semaines d'un oral de français, et à un mois de l'écrit... À me plaindre de moi... Ça doit être fatiguant à la fin ! Promis, dans ma prochaine vie, je serai une femme !
Mais y a pourtant du bon dans ce côté d'amoureux timide et maladroit : je tente de faire plaisir aux autres... Dire que je lui ai fait du mal indirectement, à Elle... Pourquoi dois-je toujours faire du mal aux gens que j'aime ? Ils en ont tous fait l'expérience ! Mes mots sont volants, insoucieux et irréfléchis. Ils la touchent par "pas mourir avant de rejoindre la Bretagne". Par "je ne sais pas si ça le changera pour autant", ou par "d'accord". Et encore ce verre à la main, je me revoie le faire bouger circulairement, en l'entendant dire "c'est pas du vin" et en riant... L'eau possède pourtant ce côté de sobriété agréable pour voir en face de soi celle qu'on aime.
Mardi, peut-être... Mercredi, du tout, et le reste j'en sais rien. Je ne veux rien savoir. Je veux juste en parler à la fille qui fume par terre. Elle m'écoutera dans la nuit et me posera une, deux, dix, cent questions. J'y répondrai ou non. On parlera, je parlerai et je lui demanderai sa vie. Ça sera passionnant, mais il me manquera la présence d'Elle. Elle sera p'têt à côté, p'têt dans son lit, p'têt dans la chambre voisine, pendant que je parlerai d'elle à la fumeuse perdue dans la terre et sur Terre, qui sait sûrement mieux que d'autre où elle va.
Rien que des mots... Faut vraiment que j'arrête de me prendre pour un artiste-né...
Je ne suis pas Dieu.
J'ai pourtant failli le croire...
Divulgé par Aimepe
Dimanche 3 mai 2009 à 15:17
Non, le titre n'a rien à voir avec le sujet... J'avais juste en tête le mot "rêve freudien" et le reste s'est écrit presque seul. C'est magique, la pensé. On arrive à croire qu'on la contrôle, alors que c'est sûrement elle qui le fait. Prisonnier de nos pensées, parfois. Prisonnier de notre pensée, toujours. Et pourtant... Si on s'y abandonne, on se laisse mourir de désespoir, ou de bonheur pour certains. Et si on s'y rebelle, la folie nous emporte. L'ignorer est la solution de beaucoup de personne, à ma connaissance. Mais ma connaissance est basé sur une généralité. Et les généralités sont généralement fausses...
Je vois dans ton jeu
Je ne comprend pas ce que tu veux
Quand je vois en moi
Je ne comprend toujours pas
Crois au bonheur, tu n'y es pas
Pendant que je veux croire en toi
Car si le malheur est irréversible
La chaleur d'un autre corps le rend invisible
A, c'est trouvé
H1, c'est touché
N1, c'est coulé...
Imbécilité et l'argent a la clef
I see in you
And I don't understand what you want...
When I see me
I don't understand again...
Again...
Again...
Je vois dans ton jeu
Je ne comprend pas ce que tu veux
Quand je vois en moi
Je ne comprend toujours pas
Crois au bonheur, tu n'y es pas
Pendant que je veux croire en toi
Car si le malheur est irréversible
La chaleur d'un autre corps le rend invisible
A, c'est trouvé
H1, c'est touché
N1, c'est coulé...
Imbécilité et l'argent a la clef
I see in you
And I don't understand what you want...
When I see me
I don't understand again...
Again...
Again...
Divulgé par Aimepe