Morte Peinture, je t'avais oubliée. Je te ramène à la vie. Ainsi j'ai dit.
Ça. Ce truc. (J'aime pas, hein. Mais bon, ça rejoint ce que j'ai pu faire en couleur il y a quelques mois.) C'est un paysage. Je ne sais pas dans quel sens.
Ça à présent. C'est une réutilisation de chiffre de Jasper Johns.
Là c'est de la couronne de Jean-Michel Basquiat.
Et là du chien de Keith Haring.
Je crois que je les ai déplacés dans un espace de valeurs et qu'il y a eu un effet de mimétisme.
Mondes-Perdus.Malade-Palpitant
Putain de bulle à toi aussi...
Dimanche 20 janvier 2013 à 2:52
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Vendredi 15 juin 2012 à 0:06
Une peinture, avant d'être un cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs dans un certain ordre assemblées. Oui, pourquoi pas. Sinon ce sont aussi des croûtes.
Les couleurs ici présentes sont bien mal représentées par rapport au support réel, mais cela n'empêche pas d'avoir un avis.
Les couleurs ici présentes sont bien mal représentées par rapport au support réel, mais cela n'empêche pas d'avoir un avis.
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Jeudi 29 mars 2012 à 18:50
Ce devait être graphique. Ce sera logothique. Un sujet sur la typographie. Une lettre (souvent une initiale) pour faire comprendre un mot. Évidement, les animaux étaient à l'honneur : éléphant, girafe, koala, serpent, mygale...
Moi-même avais des idées sur la question. Damiers, Briquet, Relief... Que du bateau, en somme. J'ai malgré tout aidé une amie pour certains trucs. J'm'en vante, j'en suis fier. Mais voilà, j'avançais mais de travers. Pis là... Bah, la bouteille de cola en face de moi...
Faut s'dire que c'est pas de la flemmardise. C'est simplement ma traduction plastique du sujet. Là, ces trucs, qui sont du domaine presque culturel, qui sont dans le conscient de chacun, dans le quotidien de chacun, ces trucs sont là. Mis à un endroit voulu avec un doigt dessus. On les voit chaque jour, on les regarde pas. Voir sans observer. Et les mettre ainsi, c'est une façon de les replacer dans leur domaine plastique. Montrer leur qualité typographique. Au départ, c'est un peu récréatif : "Ah, ça c'est truc, ça machin... Et ça, c'est quoi déjà ? Ah oui, ça me dit quelque chose..." Mais ça n's'arrête pas là. Sinon, pas d'intérêt particulier pour le travail demandé. Il faut voir la lettre, son environnement, son espace. Ce sont des concepteurs designer qui ont créé ces choses. On peut bien reconnaître qu'ils ont eu du génie.
Ces choses, car ce ne sont plus des logos, dans cette position. Leur sens fonctionnel original de qualité graphique reprend son sens, au dépit de celui voulu publicitaire, image de marque. J'aurais pu les mettre dans un ordre précis, pour créer autre chose à partir de cela :
Mais je pense que ça aurait pu perdre l'intérêt graphique. Le sens de lecture se serait fait différemment. Ce serait plus lisible que visible.
J'aime bien, au final. J'avais des doutes, de passer pour un profiteur, un fouteur de rien, un partisan du moindre effort. Au final, j'en suis un. C'est vrai. Mais avec peu, on peut faire beaucoup. Je ne sais pas si je peux faire le plus, mais le moins, j'y arrive, alors pourquoi m'en priver ? Si quelqu'un doit se plaindre, ce n'est certainement pas les autres, excepté les jaloux. Mais eux, ils ont tous les torts.
La preuve, c'est que j'ai beau dire que créer des mots modifie le sens que je veux donner à ces symboles, je le fais quand même. C'est si bien, si frais, si réconfortant. J'ai l'impression de me rouler dans une fourrure d'eau chaude.
Moi-même avais des idées sur la question. Damiers, Briquet, Relief... Que du bateau, en somme. J'ai malgré tout aidé une amie pour certains trucs. J'm'en vante, j'en suis fier. Mais voilà, j'avançais mais de travers. Pis là... Bah, la bouteille de cola en face de moi...
Faut s'dire que c'est pas de la flemmardise. C'est simplement ma traduction plastique du sujet. Là, ces trucs, qui sont du domaine presque culturel, qui sont dans le conscient de chacun, dans le quotidien de chacun, ces trucs sont là. Mis à un endroit voulu avec un doigt dessus. On les voit chaque jour, on les regarde pas. Voir sans observer. Et les mettre ainsi, c'est une façon de les replacer dans leur domaine plastique. Montrer leur qualité typographique. Au départ, c'est un peu récréatif : "Ah, ça c'est truc, ça machin... Et ça, c'est quoi déjà ? Ah oui, ça me dit quelque chose..." Mais ça n's'arrête pas là. Sinon, pas d'intérêt particulier pour le travail demandé. Il faut voir la lettre, son environnement, son espace. Ce sont des concepteurs designer qui ont créé ces choses. On peut bien reconnaître qu'ils ont eu du génie.
Ces choses, car ce ne sont plus des logos, dans cette position. Leur sens fonctionnel original de qualité graphique reprend son sens, au dépit de celui voulu publicitaire, image de marque. J'aurais pu les mettre dans un ordre précis, pour créer autre chose à partir de cela :
Mais je pense que ça aurait pu perdre l'intérêt graphique. Le sens de lecture se serait fait différemment. Ce serait plus lisible que visible.
J'aime bien, au final. J'avais des doutes, de passer pour un profiteur, un fouteur de rien, un partisan du moindre effort. Au final, j'en suis un. C'est vrai. Mais avec peu, on peut faire beaucoup. Je ne sais pas si je peux faire le plus, mais le moins, j'y arrive, alors pourquoi m'en priver ? Si quelqu'un doit se plaindre, ce n'est certainement pas les autres, excepté les jaloux. Mais eux, ils ont tous les torts.
La preuve, c'est que j'ai beau dire que créer des mots modifie le sens que je veux donner à ces symboles, je le fais quand même. C'est si bien, si frais, si réconfortant. J'ai l'impression de me rouler dans une fourrure d'eau chaude.
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Mercredi 22 février 2012 à 2:46
"Moi ça va. J'ai la dalle juste."
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Samedi 21 janvier 2012 à 18:28
Tu t'avances vers la fenêtre affriolée de courants d'air. La résistance est nulle, tu passes sans crainte de te faire du mal. Pourtant une fois sorti tu crois en la soudaine impression que l'œil mourant t'observe. Comme un pêcheur observe un brochet. Comme moi devant toi.
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