Mondes-Perdus.Malade-Palpitant

Putain de bulle à toi aussi...

Mercredi 21 mars 2012 à 1:07

 Le théâtre, généralement, j'aime bien ça. Qui s'en fout dans la salle ? Qui se marre ? Bon, sortez.

Mais parfois les comédiens, j'aime moins ça. Qui s'en fout encore ? Qui rigole ? Dehors !

J'dois même dire que... Aujourd'hui, dans le théâtre quotidien de la vie, y a une actrice qui m'a un peu fait ronger les freins. Ah tu t'esclaffes ? Très bien, je sors.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Vendredi 16 mars 2012 à 22:02

 C'drôle. Au 24, y a cette personne anglophone qui pense avoir appris de mes phrases. Et cette personne anglophone ne me donne comme unique adresse que celui d'un site vendant les services de gens écrivant des dissertations, des CVs, des essais... Alors je ne sais pas si cette personne anglophone désire que j'use de ces services (auquel cas, je pense refuser, je n'en ai personnellement pas besoin, je sais écrire ce genre de chose moi-même), ou si cette personne anglophone me fait comprendre qu'elle a usé des mes mots pour quelqu'un qui avait besoin d'une dissertation ou etc. Ou bien, juste que cette personne anglophone a apprécié mes lettres et espaces, et puis basta. Étrange. J'aimerais bien comprendre.

 Rapport aucun : la difficulté de la drague envers une bisexuelle est proportionnelle au pourcentage de chance de mourir guillotiné. Ce dernier descend plutôt bas.

 Rapport aucun : qu'est-ce qu'on nous enseigne à l'école ? L'art qui se rapporte à l'érotisme et à la pornographie. C'est vrai qu'il serait temps de lever ce tabou, il faut comprendre l'art.

 Rapport aucun : une veste et des tongs, ça suppose une sortie kennedienne forcée.


Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Mercredi 14 mars 2012 à 23:17

 Elle me tue, comme on dit, cette fille. Elle a fait un dessin et c'est ça qui me tue. C'est ce dessin. Y a un bout de temps déjà. Quelques mois. Mais j'l'ai revu y a pas vingt minutes. Ça m'a tué. Presque attristé, dis donc. De jalousie, oh oui oh oui. Mais pas tant jalousie graphique, remarque. C'était plutôt le sujet du dessin. L'envie se promenait sur mon estomac, pour remonter jusqu'à l'insulaire. Les ponts se sont défait. 

Fil, t'imagines même pas comment j'aimerais qu'on discute sur ce sujet. L'autre fois, on l'a abordé, j'ai dit ça allait. Mais même si on discutait encore, je redirait ça allait. C'est con, j'suis pas honnête, mec. Même avec toi. Tu l'es p'têt pas entièrement non plus.

Comedia, au fait, j'aimerai aussi savoir si tu la portes si profondément que les vents qui viendront au printemps ne la déchireront pas. J'arrive à me dire que si ça arrive, je tenterais de la recoudre. Voire, j'espère presque que ça arrive. C'est dire, merde ! C'est dire à quel point j'me perds. Un coup de vent et paf, dans les bras de bibi. Non ? Non. Bon, bah on vérifiera la météo une autre fois.

Babooshka daboosh...

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Mardi 13 mars 2012 à 3:36

 Ce soir, à 1h20, après avoir vu un film où j'me suis plus marré à cause des critiques qu'on lançait, on s'est dit : bowling. J'prends le volant, j'lance The Cure pour partir en bonne roue, j'promets une pointe à 120, j'en fait une à 100 à l'aller.

Au bowling, on a fait demi-tour, il était fermé. Ils ont réclamé une pointe à 120, ils l'ont eu à 110. On s'est reposé à leur appart'. On a regardé Caroline et ses amis, on fut dégoûté par le changement graphique des personnages. Ils se sont couchés, on est reparti.

C'était une journée de cours, ou plutôt de pré-reprise de cours.

Ça m'a pas fait tant mal, mais j'y ai beaucoup pensé. À elles deux. Ce schéma qui se retrace sans cesse devant moi. Faut dire que je fais sûrement pas grand chose pour y dévier. Ça m'a rappelé que dans ma jeunesse, j'étais assez aventurier, voulant tenter le danger. Aujourd'hui, toujours un peu, mais pas dans les moindres mesures. La puberté a tué - non, elle a transformé - ma vision sans recul de mon monde. Hé ben tant pis.

J'ai aussi vu que j'étais un peu émo il y a quelques temps. Au collège/lycée. Un peu. Plus pathos qu'émo. Plus émo dans l'esprit que dans l'apparence. Tellement que je fuis cette étiquette d'émo qui passe beaucoup dans le physique. Ça m'effraie les étiquettes. 

J'me suis revu en romantique quand on reparlait du courant, en cours d'histoire de l'art. Dans l'écrit, qui se recentre plus sur soi, utilise beaucoup le "je" et le "moi", plus vers l'âme que le corps. Et en relisant ce que j'ai pu écrire, rien qu'ici, c'est, sans vouloir me placer haut sur une barre, plutôt moi, cette définition. Alors une étiquette de plus, de moins...

Et j'ai eu beaucoup de mal avec la mort de Jean Giraud / Moebius.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Samedi 3 mars 2012 à 4:40

 C'est déloyal ! J'y repense. Ça me donne l'effet d'une bombe dans le palpitant. Une rafle de couleur dans l'magma. Une fellation orthopédique dans les artères. C'est déloyal et injuste. Me le dire. Des choses comme ça. Me laisser attendrir, me prendre par surprise à des endroits et des moments inconnus, et paf, me jeter une galette végétarienne quand je m'attendais à un steak de bison. Pcht. Pas que ce soit de ta faute, little girl, mais ça me trompe.

Alors bon, c'beau ou pas, moi j'sais pas quoi faire. T'aider, te briser pour tenter de reconstruire, ne rien faire. Paf, impasse. L'entrechoquance de mes ventricules prennent une vitesse exponentielle et je perds l'équilibre. Bim. Choc. Bam. Déséquilibre. Boum. Chute.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

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