Malgré que le ciel se séchait les cheveux en deux, les mains sortaient de la terre pour nourrir le cheval posé là, de façon malsaine. Seul le sable venteux laissait penser que la fin était là. D'ailleurs c'était la fin.
Je crois que le vélo nerveux s'enroule trop chroniquement ! C'est la fin.
Remords ? Oui. Mais sans rancœur. - Crois-tu ? - Oui, c'est la fin.
Si, je crois finalement que la palpitation est pesante. Venant de la grêle c'est normal, cependant inhabituel car j'attends depuis longtemps la reconnaissance et l'oubli. C'est émotionnel. C'est la fin.
J'adore observer les astres en lampadaire qui briquent le sol aqueux des pupilles. C'est fou. C'est totalement dégradant. C'est la fin.
Mondes-Perdus.Malade-Palpitant
Putain de bulle à toi aussi...
Vendredi 25 mai 2012 à 3:21
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Samedi 19 mai 2012 à 15:25
People say beware, but I don't care...
Rach et les autres.
Des choses qui se voulaient écrites. Qui l'étaient dans une tête. Mais qui disparaissent par la mélodie.
J'entends un son. Il m'enivre. Il m'efface les mots. Que j'avais en débord.
Je tenterai plus tard, sans doute.
Rach et les autres.
Des choses qui se voulaient écrites. Qui l'étaient dans une tête. Mais qui disparaissent par la mélodie.
J'entends un son. Il m'enivre. Il m'efface les mots. Que j'avais en débord.
Je tenterai plus tard, sans doute.
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Dimanche 13 mai 2012 à 4:23
Bravo gars. Manger ou être mangé, toi tu croques. C'comme à la loterie. Genre y avait des chances d'un côté, et de l'autre. Faut d'abord jouer. Et ensuite tomber sur le numéro gagnant. T'as joué deux fois, t'as gagné une fois. C'est fort quand même. Autant de palpitations... C'est pas essentiel, mais c'est important, c'est ça ? Je sais plus, tout m'échappe comme un poisson à travers le courant. (Beuh, mauvaise métaphore.)
Bon bon bon... Tu crois quoi ? Faut foncer jusqu'au bout maintenant. C'est l'unique à présent. L'Unique. Moi j'cherche, vieux brigand. On était en lisse dans deux listes. C'est p'têt ça en fait. Changer de course, la solution. Hakuna Matata...
Bon bon bon... Tu crois quoi ? Faut foncer jusqu'au bout maintenant. C'est l'unique à présent. L'Unique. Moi j'cherche, vieux brigand. On était en lisse dans deux listes. C'est p'têt ça en fait. Changer de course, la solution. Hakuna Matata...
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Mercredi 9 mai 2012 à 0:08
Mais... J'ai envie de dire STOP parfois.
Je traverse des forums de dessins... Et y a vraiment des gens qui en encourage d'autre juste pour la masturbation. Vas-y, y a un style qui commence à apparaître. Bah moi j'le vois pas... J'suis aveugle surement. J'suis aussi méchant, par la même occasion. Vas-y, oui ! Moi, j'te dis oui, vas-y. Mais ne t'aveugle pas, il y a encore du chemin avant d'avoir un truc qui ressemble à quelque chose de personnel. C'est bête à dire, mais merde, j'le pense. J'aime pas cet état d'être : critiquer sans laisser sa chance. Mais j'l'ai déjà dit, je n'crois en la chance. C'est quoi le mieux : que quelqu'un le lui dise ou qu'on lui dise : oui, mais qu'il s'en rende compte tout seul ? P'têt que je prends ça trop à cœur, parce que moi-même j'ai dû le voir en regardant le talent des autres.
Ça va me donner un air, ça... "J'ai dû m'en rendre compte seul. J'ai dû faire face à... J'ai dû... J'ai..." Mais bof quoi. Rien de plus.
Ah si. J'aimerais tant une intervention.
Je traverse des forums de dessins... Et y a vraiment des gens qui en encourage d'autre juste pour la masturbation. Vas-y, y a un style qui commence à apparaître. Bah moi j'le vois pas... J'suis aveugle surement. J'suis aussi méchant, par la même occasion. Vas-y, oui ! Moi, j'te dis oui, vas-y. Mais ne t'aveugle pas, il y a encore du chemin avant d'avoir un truc qui ressemble à quelque chose de personnel. C'est bête à dire, mais merde, j'le pense. J'aime pas cet état d'être : critiquer sans laisser sa chance. Mais j'l'ai déjà dit, je n'crois en la chance. C'est quoi le mieux : que quelqu'un le lui dise ou qu'on lui dise : oui, mais qu'il s'en rende compte tout seul ? P'têt que je prends ça trop à cœur, parce que moi-même j'ai dû le voir en regardant le talent des autres.
Ça va me donner un air, ça... "J'ai dû m'en rendre compte seul. J'ai dû faire face à... J'ai dû... J'ai..." Mais bof quoi. Rien de plus.
Ah si. J'aimerais tant une intervention.
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Dimanche 6 mai 2012 à 4:07
Tu crois quoi ? Que j'use de phrases pour décrire la terreur qui se répand dans mes cellules ? Je lis, je lis de tout pour pouvoir comprendre comment traduire tout ça. J'écoute aussi, mais ça rentre moins. Malgré tout je me rends compte que ce ne sont pas tant les phrases des récits qui m'altèrent mais ce qui est autour, l'univers sa profondeur le reste. Pour le reste. Encore. C'est ce soir ce matin l'homme d'acier qui me fait tourmenter les petites cases vides de mon clavier. Elles font tip tip et tap pour l'espace. Le reste s'enfonce dans la douceur mélodieuse de l'espace. Le temps s'envole. Mais cette terreur anonyme s'ancre dans l'ADN de mes leucocytes. C'est-à-dire dans ma chair, transportant descendance et ascendance à un même point d'arrivé, celui de départ. C'est pour enfermer ce mal, j'utilise ce mot en pleine conscience de sa valeur imaginaire et religieuse, que je porte cet anneau d'or à l'auriculaire. Ce doigt qui permet stabilité à la préhension, il permet sureté à ma stabilité. Ce qui me couvre m'acclame et me fluctue autant que la lune avec la Terre. Si c'est vrai, alors mon entourage est digne d'un soleil, qui permet à ma personne un sens à découvrir et une chaleur fixe.
J'étais enfermé dans ce réfrigérateur. Je ne manquais de rien bien sûr, j'avais une bouteille de lait tous les matins. Mais ça donne froid au cœur un réfrigérateur. Alors je me suis enfuit de toi, m'échappant de ta serrure d'argent. Je me suis réfugié dans le four d'une autre. Il y fait chaud et j'ai un bol de chocolat tous les matins. Pour l'instant, je reste dans ce four.
J'étais enfermé dans ce réfrigérateur. Je ne manquais de rien bien sûr, j'avais une bouteille de lait tous les matins. Mais ça donne froid au cœur un réfrigérateur. Alors je me suis enfuit de toi, m'échappant de ta serrure d'argent. Je me suis réfugié dans le four d'une autre. Il y fait chaud et j'ai un bol de chocolat tous les matins. Pour l'instant, je reste dans ce four.
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