Mondes-Perdus.Malade-Palpitant

Putain de bulle à toi aussi...

Samedi 14 avril 2012 à 18:07

Cette fois c'est l'histoire d'un rat d'égout qui veut partir découvrir le pays alors il sort de son tunnel principal et saute dans un camion. Le camion s'arrête alors près des arrêts bus et le rat qu'on appellera Philémon descend de son premier transport pour monter dans un bus au hasard. Le bus reste à l'arrêt pendant toute une journée et une nuit et part au matin il quitte la ville traverse un petit bois et ralentit devant une maison à la sortie du bois non loin d'un ruisseau. Philémon hors du bus et va boire au ruisseau mais il se fait emporter par le courant lorsqu'il essaie d'attraper un fruit tombé à l'eau. L'eau l'amène au loin pendant toute une journée et Philémon pense qu'il est fini heureusement il rencontre un rocher qui l'arrête dans sa progression. Philémon s'endort et la nuit un hiboux l'attrape dans l'intention de le manger mais Philémon arrive à se sauver et tombe à terre il est complètement perdu et affolé alors il va dans un terrier abandonné et s'endort encore attendant le jour pour continuer son voyage. À son réveil il entend des bruits de moteur qu'il connait bien des voitures avancent sur une route proche de son abri alors il accourt pour tenter de s'accrocher à une voiture mais il n'y arrive pas et se fait écraser. Philémon est mort.

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Samedi 14 avril 2012 à 1:59

 C'est l'histoire d'un mec qui est doué en photo. Non une meuf elle est douée à la guitare non au piano mais son grand plaisir c'est la photo. Elle n'est pas vraiment bonne dans ce domaine mais rencontre ce gars plutôt excellent. Elle aime son talent et puis peu à peu plus que son talent. Elle laisse bien sûr de côté le piano ses études et se consacre pendant les prochains mois à la photo ainsi elle fait ce qu'elle aime et discute souvent avec le mec. Il commence à l'aimer et ils s'embrassent dans un café non il ne l'aime pas il en aime une autre qu'il embrasse dans un café mais se prend un refus aussi sec non la fille qu'il aime refuse poliment le baiser et part. La meuf de l'histoire s'en va en voiture dans une ville au hasard des pannes d'essence elle se promène souvent et prend des tonnes de photos pour s'entraîner non elle ne photographie rien alors que tout le matériel est avec elle. Elle ne fait rien du tout non elle joue un peu sur un clavier non elle ne fait rien juste se balader. Un soir elle rencontre un gars encapuchonné non avec une veste noire et un col rouge à un carrefour non à un supermarché Carrefour non juste à un croisement de chemin terreux un carrefour. Elle devine que c'est le diable et elle lui propose de vendre son âme en échange de non le diable lui propose un marché il veut son âme et lui offre la célébrité par le piano mais ce qu'elle veut c'est la photo alors le diable accepte non elle demande le talent du photographe ainsi que son cœur et le diable accepte. Elle revient dans sa ville d'origine pour revoir son futur amant et lui montrer les photos qu'elle a prises non elle ne touche toujours pas à l'appareil mais revient quand même dans sa ville. Le mec la recherche apparemment il a même arrêter la photo pour elle non il prend une tonne de photo dans les rues en la cherchant souvent des portraits. Elle refuse de le voir parce qu'elle a honte d'avoir forcé le destin et elle se cache mais sans quitter de ville. C'est une grande ville. Il veut à tout prix la retrouver on lui propose des expos de ses photos il refuse car il l'aime et s'en fiche non il accepte et devient de plus en plus célèbre. Lors d'une interview bien plus tard on lui demande son véritable but dans la photo et il répond je cherche un amour non il ne répond pas il voit la meuf qui passe devant non il répond juste une chose qu'il n'a pas encore trouvée. La meuf elle ne touche plus à rien ni photo ni piano et travaille pour rien juste pour gagner sa croûte elle voit souvent le mec à la télé et déprime. Non. C'est pas l'histoire de ça. Y a pas d'histoire en fait...

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Mercredi 25 janvier 2012 à 3:09

Au loin, dans le gris saumâtre du ciel, un objet s'approche. Le vent ramène des bribes de phrases.

« …comprenez bien que dans la conjoncture actuelle, nous ne pouvons pas encore sortir de l'ombre. »

L'objet oblong, d'une sale couleur blanc cassé usée par l'âge, tourne sur lui-même comme une toupie. Du bord du quai n°3, on peut apercevoir le bout horriblement noir d'un chapeau melon.

« Mais au vu des prochains évènements, nul doute que ce ne saurait tarder. »

Le second homme, celui avec une casquette et des lunettes noires, porte un pull-over jaune moutarde jurant avec les toits des immeubles de Paris. Il conduit.

« V'oui, j'pense bien mon bon m'sieur. J'vous dépose là ?

- S'il vous plaît, mon brave. »

Le chapeau melon à la moustache se lève et descend les escaliers après que le chauffeur ait garé, à l'aide de câbles métalliques, son véhicule. Le quai n°3 est vide. Montmartre est un lieu qui devient de moins en moins fréquenté. La Commune a sans doute participé à cet état de tristesse, même si soixante ans séparent la révolte à nos jours.

« Ces taxi-men volants… On peut leur dire tout et n'importe quoi, ils n'écoutent rien. »

Monsieur Tessum est toujours heureux de pouvoir se libérer de ses bagages mentaux. Tout garder pour soi, oui, mais pas en permanence. Et puis pourquoi ne pas en profiter ? Depuis 1890, les véhicules volants sont en libre circulation, et les conducteurs sont uniquement des néophytes politiques. La seule chose qui les intéresseraient seraient le prix du pain et du tabac. Tessum se rend justement chez un buraliste.

Au guichet, une jeune femme lève le nez de son livre de compte. Elle porte un châle orange, mettant en valeur ses yeux bleus et sa chevelure brune. Tessum la regarde et fait un signe de la main pour indiquer son choix. Comme s'il a peur qu'elle ne comprenne pas bien, il précise sa commande :

« Deux paquets de noir et bleu.

- Quinze francs soixante-quinze. Il vous faut autre chose ?

- "Vous ne devez pas plaire aux hommes mais tout de même vous êtes une femme."

- Les toilettes sont au fond à gauche.

Tessum range ses cigarettes et avance jusqu'au fond en caressant religieusement sa moustache blanche. Il pense que la phrase choisie par le Comité de l'Insurrection pour se présenter n'est pas très utile. Mais bon, il ne cherche pas à comprendre plus. Ce n'est pas ce qui changera la France. Il sait ce qu'il doit faire, et il le fait. Alors il descend les étages sur le lévitateur. Il entend peu à peu les conversations du Comité. Dans le tube du lévitateur, la faible lumière électrique de la cave perce le noir. Lentement, il aperçoit Demessier, président du Comité de Montmartre, soigneusement barbu comme d'habitude.

« Vous tombez au bon moment, Tessum. Nous sommes actuellement sans nouvelle de Billard depuis deux jours.

- Billard ? Mais c'est lui qui possède les codes de la Magistrature !

- Précisément. Et nous devons le retrouver à tout prix. Lui et ses codes. Je vous envoie donc près de la Magistrature. Vous habitez par-là, il n'y aura aucun risque à courir. Rien ne doit nous faire reculer.

- Très bien. Je pars immédiatement. »

Le fond de l'air est frais. Le mois d'octobre s'annonce frileux. Du bout de sa cigarette, la volute de fumée s'envole et remplit l'espace. Elle est encore sèche à ses lèvres. Plus rien ne va. Tessum s'enfonce dans Paris. Il inspire encore sur sa tige, et recrache le poison hypnotique hors de sa bouche. La Magistrature apparaît, comme un cube, sur le Champ-de-Mars. Aucun bâtiment officiel n'a encore été si impersonnel. Un bête parallélépipède. Avec une simple porte d'entrée à double battant et des fenêtres carrées. Son ombre cache la moitié du parc.

Soudain, un derrière de crâne chauve se trouve face au moustachu Tessum. Cette tête trop grosse pour un si frêle corps, un manteau de noyé, un nez disproportionné.

 « Bonjour monsieur Billard. »

Le monsieur en question se retourne, dévisage son interlocuteur, et revient à la cigarette qu'il est en train de rouler. Il n'a pas reconnu Tessum. Cela ne veut dire qu'une seule chose. Le regard contrarié de Tessum laissa place à une inquiétude, puis à une colère noire. Il attrape le col de l'amnésique.

« Non ! NON ! Pas toi, pas toi Billard ! On a besoin de toi !

- Mais ! Mais enfin, lâchez-moi ! »

Tessum augmente la prise et secoue le grêle gaillard dans tous les sens, en poussant parfois un cri de rage. Quand une voix calme et posée, ridiculement trop haute, intervient.

« Ça ne sert à rien, monsieur Tessum. Il est trop tard.

- Quoi ? … Qui parle ?! »

Un homme sort du coin d'une ruelle. Il est habillé d'une cape avec l'insigne du R, et d'un béret bleu. Deux hommes l'accompagnent.

« La Milice du Roy !

- Vous devriez parler un peu moins dans les taxis volants, monsieur Tessum. »

 

Dans la nuit charbonnée de Paris, un écho de claquement résonne dans chaque rue.

 

Dans la cave du Comité de l'Insurrection, Demessier prend un air grave.

« Nous venons d'apprendre la capture de Billard et de Tessum par la Milice. »

Puis il regarde chaque membre dans les yeux.

« Mes amis… Voici la fin. »

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Lundi 2 janvier 2012 à 0:43

Un mec rentre chez moi. Je suis sur mon lit avec un autre mec que j'avais baisé le matin. Je le connaissais depuis trois jours, mais une fête et tout passe mieux. Voilà qu'entre dans ma chambre ce mec. Il me dit quelque chose. On dirait l'ex-petit-ami de celui qui est à côté de moi. Bon coup, je dois dire. C'était plus sympa dans la douche. Mais ce gars avance vers moi, dit bonjour, et m'envoie un poing dans la gueule.

Je suis pas trop sonné, mais j'sais pas ce que je dois faire. Maintenant c'est sûr, c'est l'ex de mon étalon. Ce dernier le regarde. Il a la bouche bée. Je comprends. L'ex me regarde me relever. Je le dépasse légèrement. Il commence à s'excuser rapidement, me fait la bise, et en même temps me fout sa main sur mes bouts d'organes génitaux, en agrémentant d'une phrase, comme si elle était la plus banale du monde :

"J'voulais voir si tu bandais."

Après le gnon que j'avais reçu, j'aurais bien rendu la pareille, mais là il me fait pitié. Il commence à gesticuler, mimant des gestes à grossières connotations sexuelles. Incroyable, je pensais pas qu'on pouvait être aussi con que ça. Apparemment, d'après ce que je comprends de son blabla, il a vu des photos de moi et son ex sur Fabo. Une conne d'amie présente à la soirée. Putain, elle le savait pourtant, que son ex était taré ! Il nous l'avait brièvement dit, assez pour comprendre qu'il méritait d'être en HP. Mais non, elle a même utilisé mon compte pour écrire des commentaires "I<3U! Bn année". Mais putain de bordel, ch'uis pas assez con pour écrire comme ça !

Il le supplie à genoux de revenir. Ils s'engueulent. Je sors de ma chambre pour rejoindre mon père dans la pièce d'à côté. Je lui raconte, il me regarde entre rire et incompréhension. Je lui ré-explique, et il reste ébahi par la stupidité de cet homme. Mais ce qui m'inquiète, ce que si mon père lui a pas ouvert, c'est qu'il a dû entrer par effraction. Ah, il est sorti de mon espace, et traverse le couloir en trombe. L'autre le suit. J'les suis aussi, allez hop !

Ils vont dehors. Le taré balance les affaires de mon bon coup. J'les attrape, pendant que mon p'tit baiseur remonte. Il a l'air effrayé et stressé. Son con d'ex me raconte des trucs sur son beau ex. Des trucs du genre qu'il est taré, qu'il a passé un an à vivre à ses crochets. Je sais qu'il le séquestrait plutôt qu'autre chose. Il me dit qu'il devrait me foutre la mâchoire sur le trottoir et me filer des coups. Des coups, j'en ai eu assez pour la soirée. C'était ma première fois. Que je m'en prenais un.

Je remonte les affaires. Je regarde redescendre celui qui m'a donné du plaisir. Il me dit qu'il revient. Mais il part dans la voiture du fou, discuter apparemment.

Et là je suis assis depuis une demi-heure sur mon lit, mon père est parti, et je sais pas quoi faire.

Super nouvelle année, putain.

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Mercredi 26 octobre 2011 à 1:32

 Chapitre Deux - Parce que même sans demande, je mets la suite.

Le mois suivant, un nouveau Grand Conseil des Sages du Village eut lieu.

 

« Je pense, avoua le premier Sage, que notre idée était bonne, mais que le père aurait dû prévoir que son fils emmènerait avec lui son jouet.

- Absolument, distingué collègue ! appuya le second Sage. 

- Et c'est pourquoi nous ne pouvons plus nous fier à son père pour nous aider, exposa le troisième Sage. Il faut donc trouver autre chose.

- Si le bois est son élément, que dites-vous de l'eau ? proposa avec intelligence le quatrième Sage.

Les cinq Sages furent immédiatement d'accord et établir aussitôt qu'on enverrait le Petit Bûcheron Rouge sur un bateau au gré du vent et des marées.

Déjà dit déjà fait, une semaine plus tard, le Petit Bûcheron Rouge fut convié à visiter un bateau. On lui précisa qu'il y aurait plusieurs modèles de tronçonneuse exposés et des clochards à morceler. Conciliant, le Petit Bûcheron accepta l'invitation, mais uniquement pour les clochards. Sa jolie tronçonneuse rouge lui convenait parfaitement et n'avait pas la moindre envie d'en changer. Quant à en tester une autre, ce serait comme trahir son âme. Sur le chemin, il sectionna son père sans s'en rendre compte. La vélocité de l'objet aimé devenait impressionnante.

Une fois le Petit Bûcheron Rouge à bord de l'embarcation, on lâcha les amarres. Puis les Sages firent un discours sur la bravoure de l'idée et des multiples questionnements qu'elle avait induits.

Pendant ce temps, le Petit Bûcheron Rouge finissait de subdiviser les quelques vagabonds qui s'étaient courageusement portés volontaire en échange d'un repas chaud. C'était du rapide. Il avait affiné le matin même les lames de sa jolie tronçonneuse rouge.

Lorsqu'il remonta sur le pont, le bateau était déjà loin en mer. Le courant était fort et le vent soufflait tout autant. Deux paramètres qui n'avaient pas été pris en compte par les Sages, mais qui les arrangeaient bien. En réalité, il s'agissait d'une tempête qui n'allait pas tarder à ravager les côtes portuaires. Le village du Petit Bûcheron Rouge était en plein dans l'axe du chemin de la tempête, mais ceci n'est qu'un détail pour la suite de l'histoire.

Le Petit Bûcheron Rouge se mit à faire miauler son objet aimé, puis grogner. Il découpa en tranche le mat du bateau, puis la barre de direction, et enfin toute la cabine de pilotage. Pas par colère, il avait juste envie de saucissonner quelque chose.

Tout à coup, une voile apparut à l'horizon. Une voile toute vêtue de blanc. C'était un navire commerçant grec de fière allure et d'aspect noble. Il avait été attiré par le bruit de la jolie tronçonneuse rouge. Le capitaine était généreux et toujours prêt à aider son prochain, s'il en avait l'occasion et les moyens. Le navire arriva à temps, le Petit Bûcheron Rouge avait commencé à démembrer son embarcation. Une fois à bord du vaisseau grec, le capitaine, qui avait fait quelques cours de français, lui demanda : "Mais pourquoi alliez-vous donc tronçonner votre chaloupe ?"

Le Petit Bûcheron Rouge, prenant sûrement cette dernière phrase pour une demande de preuve d'amour envers son objet aimé, agita de haut en bas sa jolie tronçonneuse rouge. Le capitaine fut alors convaincu que le Petit Bûcheron Rouge ne vivait que pour cela, puis tomba en tranches sur le plancher en bois. Le reste de l'équipage prit peur, et sauta du navire. Mais, comme d'habitude, cela importait peu au Petit Bûcheron Rouge. Il avait tout un navire de commerce à dépecer, et il n'allait pas attendre qu'on lui demande pour le faire.

Tout à coup, une voile apparut à l'horizon. Une voile toute vêtue de noir. C'était un navire pirate chinois à l'allure sobre et l'aspect suffisant. Il avait été attiré par le bruit de la jolie tronçonneuse rouge, puis par le drapeau de commerce qu'arborait le bateau grec. Le capitaine pirate était avide et toujours prêt à prendre ce qui n'était pas à lui, s'il en avait l'occasion. Le navire arriva juste à temps, le Petit Bûcheron Rouge allait entrer dans la soute où étaient entreposées les marchandises. Une fois bord du vaisseau grec, le capitaine, qui avait appris le français par quelques otages et dictionnaires volés, lui déclara : "T'as fait du bon boulot, mon grand ! Quelle arme que cette si jolie tronçonneuse rouge ! Mettre tout un équipage en fuite, c'est pas du ressort de chacun."

Puis, il se précipita avec parcimonie dans la soute, pour avoir un aperçu du butin. Le désespoir fut de courte durée, mais intense.

 

« Capitaine, c'est un navire marchand grec, dit un matelot. Plus personne n'achète grec de nos jours…

- C'est exact. Bon sang ! Mais que faisons-nous dans cette misère ?

- Prenez le bon côté des choses, capitaine ! Nous avons enfin un bateau de rechange. Le nôtre ne devrait pas tarder à tomber en pièces. Même si les navire grec sont rarement remplit de richesses, ils sont généralement de bonne qualité. Tout l'inverse des nôtres, en somme.

- Tu n'as pas totalement tort. Ainsi, j'ai décidé que ce bâtiment serait le mien à partir de cet instant. Ne traînez pas, mes braves, allez chercher les affaires et ramener les ici ! »

 

Mais tout au long de cette discussion, le Petit Bûcheron Rouge avait eu le temps de réduire en petites rondelles tout ce qui se tenait sur le pont. Mâts, cabines, roue de direction, escaliers, tonneaux, et les rares pirates qui ne s'étaient pas précipiter dans la soute, préférant chercher des bricoles que les anciens occupants du navire auraient pu oublier.

Le capitaine et ses pirates, en remontant sur le pont, furent abasourdis quelques secondes. Un matelot, fraîchement enrôlé, cria : "Au fou !" Les autres s'étaient déjà précipités sur lui pour lui arracher des mains sa jolie tronçonneuse rouge et le jeter aux fers.

Le bateau, nouvellement chinois, ne disposait plus de moyen pour avancer. Même les rames avaient été victimes du Petit Bûcheron Rouge. Le capitaine était à la fois vert de rage, et souriait jaune en pensant à ce petit homme qui pouvait devenir une bonne recrue. Il avait déjà en tête plusieurs plans qui pouvaient tirer parti de cette envie de trancher.

 

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