Deux mois. Deux mois de putain de deuil. Du 30 novembre au 30 janvier. Et ironie du destin, il a fallu que ce soit par mon cousin que cette fin de deuil se fasse, lui qui n'apprécie pas vraiment ce groupe. Jamais je n'aurai pensé pouvoir entendre une chanson d'eux, et encore moins "Tostaky", avec lui. Faut croire qu'il fallait que ce soit ce jour-là. Peut-être que vous ne me comprenez pas. Moi si, c'est le plus important.
Deux mois de foutu deuil, associé à au moins huit bons mois de grève envers eux. Faut comprendre. Ça m'avait foutu un choc quand j'avais appris qu'ils ne viendraient pas au concert. Je voulais nettoyer mes oreilles de leurs mélodies pour mieux les apprécier par la suite. Et j'ai attendu patiemment, huit mois.
J'ai l'impression d'être un psychopathe. Peut-être, qui sait ? Quelqu'un pourrait-il me rassurer ? J'en doute.
Il est 23h23 et j'ose espérer que quelqu'un pense à moi, comme le voudrait une coutume populaire auprès de mes amis.
Bruxelles, Angoulême, Poitiers, Paris. Et sinon, direction Auroville, en Inde. Si vraiment aucune école d'art de veut de moi, j'irai à l'école de la vie. Je prendrai une voiture, prendrai le plein d'essence, et partirais dans la nuit (le jour ? Beaucoup moins romantique... Et qui peux dire combien j'aime le romantisme...) J'irai rendre visite à quelques personnes en France, peut-être. La Dictatrice, notamment. Je suis sûr que ça sera un moment sympa. Pis encore la route... Je passerai même peut-être devant chez vous ? Sans le savoir, faute de le savoir. Et vous me verrez p'têt même passer, sans le savoir, faute de le savoir.
Ce s'rait un sacré destin quand même.
Au prochain message, je joindrai un dessin, une peinture et un gribouillis. Et une photo. Mais qu'importe.
Fonald. (Cousin éloigné de Donald Duck. A vous de réfléchir.)
Mondes-Perdus.Malade-Palpitant
Putain de bulle à toi aussi...
Mardi 1er février 2011 à 23:33
Divulgé par Aimepe
Dimanche 19 décembre 2010 à 19:17
Bretagne sud ouest, le bout du monde en direct, mince couche de blanc, puis fondue en quelques heures.
Vent, oui, un peu. Tu peux me passer le sel ? Non merci, sans grêle. Avec des patates ? Cent patates !
Promenade en bord de mer. Pointe du Millet. Moulin à eau. Joli, beau, insouciant, oublie tout.
Ce soir, c'est crêpes maison au menu... Vive le direct.
Vent, oui, un peu. Tu peux me passer le sel ? Non merci, sans grêle. Avec des patates ? Cent patates !
Promenade en bord de mer. Pointe du Millet. Moulin à eau. Joli, beau, insouciant, oublie tout.
Ce soir, c'est crêpes maison au menu... Vive le direct.
et puis son doigt decrit dans l'air des etoiles
ou bien des eclairs elle ignore si superbement
les sentiments les aleas de l'amour elle s'avance
vers la fenetre abandonnee lascive et elle
couvre le ciel de mille signes etranges et inconnus de tous
un ange passe
un ange passe
[Lolita nie en bloc]
Divulgé par Aimepe
Samedi 18 décembre 2010 à 15:04
Encore frustré par la fin annoncé de Noir Désir. Non, pas frustré. Affaibli ? Desespéré ? Cassé en deux ? Pourri de l'intérieur ? Bref, on s'en fout, c'est ainsi, "qui savait au début qu'il y aurait une fin ?"... Tous, mais on y pensait pas vraiment.
J'ai tant de chose à dire, et si peu envie de le faire. Trop de choses qui bloquent les mots. Comme si on bourrait un sablier de grain de sables pour faire passer plus vite le temps, mais qui serait finalement bouché. Voilà, c'est à peu près ça.
Et surtout, trop de chose à lire.
J'ai tant de chose à dire, et si peu envie de le faire. Trop de choses qui bloquent les mots. Comme si on bourrait un sablier de grain de sables pour faire passer plus vite le temps, mais qui serait finalement bouché. Voilà, c'est à peu près ça.
Et surtout, trop de chose à lire.
Attendez-moi
j'avais envie de venir aussi
Mais voyez-vous ça va trop vite
N'allez pas si vite
[Fin de siècle]
j'avais envie de venir aussi
Mais voyez-vous ça va trop vite
N'allez pas si vite
[Fin de siècle]
Divulgé par Aimepe
Jeudi 28 octobre 2010 à 0:30
... And love is all you need.
Très bien, partons alors à la Quête de l'Oiseau du temps...
Tu sais, une porte, ça s'ouvre, ça se ferme, mais au final, ce n'est qu'un trou dans un mur. Peu importe les moyens, on peut toujours sortir ou entrer. Il suffit de voir les choses différemment. C'est la seule chose vraiment difficile.
Perdu dans l'univers, il n'existe pas de solution. Juste des moyens.
Très bien, partons alors à la Quête de l'Oiseau du temps...
Tu sais, une porte, ça s'ouvre, ça se ferme, mais au final, ce n'est qu'un trou dans un mur. Peu importe les moyens, on peut toujours sortir ou entrer. Il suffit de voir les choses différemment. C'est la seule chose vraiment difficile.
Perdu dans l'univers, il n'existe pas de solution. Juste des moyens.
Imagine all the people living for today...
Divulgé par Aimepe
Dimanche 5 septembre 2010 à 1:46
Enfin ! Ça c'est fait. Pré-rentrée, rentrée, une heure d'anglais, cinq heures de dessin, week-end et un appel ! Mon programme que je n'osais même pas imaginé, enfin fait !
Et une peur qui reste dans le fond de la gorge. Je l'avale, elle remonte. Elle a une existence propre. Elle ne veut pas partir. Bientôt, peut-être, prendra-t-elle son sac et ses bottes, et partira-t-elle. Je le veux.
Et une peur qui reste dans le fond de la gorge. Je l'avale, elle remonte. Elle a une existence propre. Elle ne veut pas partir. Bientôt, peut-être, prendra-t-elle son sac et ses bottes, et partira-t-elle. Je le veux.
Divulgé par Aimepe