Mondes-Perdus.Malade-Palpitant

Putain de bulle à toi aussi...

Mardi 17 mai 2011 à 2:15

 Alors là, tu vois, moi aussi, j'ai une tonne de truc à dire.

D'abord sur la BD. Parce que ce truc, ces deux p'tites lettres qui forment tout un concept, ce mot de deux mots qui englobe plus qu'il n'envisage, ce bidule truc machin de chose, c'est c'que j'aime, je crois bien. J'ai lu un bouquin, une BD, sur la BD. Ça disait que la bande dessinée, c'était un art de l'invisible, un art séquentiel. Tout de suite, ça implique une rupture. Une séquence, une suite de rupture. Dans cet art, c'est pour différer le temps de l'espace. Art séquentiel, ça veut dire aussi que ce ne peut pas être une seule image. Deux persos avec une discussion de deux bulles, en une case, c'est pas de la bd, pas du tout. C'est une image, une illustration peut-être, mais pas de la bd. Mais, si tu prends un stylo, tu l'appuie sur un support, ça fait un trait. Et sans le lâcher, tu fais le monde. Imagine ensuite, sans lâcher le stylo du support, tu fais des courbes. Courbes qui ressemblent au contour d'un personnage, une forme humaine, mais en un seul trait toujours. Pas de croisement, une simple ligne courbée qui ne revient pas sur ses traces. Et tu continues, sans lâcher, tu recourbes pour refaire la même forme, mais dans une autre position. Imagine, tu continues comme ça pendant dix minutes, avec un seul trait, et une forme de personnage qui revient une dizaine, quinzaine, vingtaine de fois. Toujours la même. C'est un seul trait, c'est juste une supposition d'un personnage qui réalise différentes actions. C'est séquentiel, ça ? Ce le serait sûrement si c'était différents traits, s'il y avait des interruptions. Juste un coup de blanco sur le trait, pour séparer chaque mouvement. Mais là, sans rien toucher ? Je sais pas, je me le demande, je ne peux pas répondre. Et c'est un grand "kiff" de pas savoir, putain. Passez-moi l'expression.
Je demanderai ça à mon futur prof, à Angoulême...

Sans rapport, sans lien logique, juste des pensées, juste des rêves. J'ai rêvé, je rêve. Vraiment, ça fait quelques jours que je rêve de chose si frappante que je m'en souviens bien. Le premier concernait mon chat, tombant de falaise, que je transporte ensuite dans mes bras, mourant, miaulant, voulant jouer encore malgré la douleur. J'extériorise, je ne peux pas garder ça seul en moi. L'instant de chute, l'instant de choc, l'instant de l'os. L'instant de ma mère, qui tombe aussi, après avoir battu le record du monde de funambulisme. Ch'ai pas si le mot existe, c'est bien. Elle marche sur un fil à une hauteur folle. Elle marche, elle arrive près du mur d'arrivé. Il y a son ombre, un peu plus grande qu'elle, en ralentit. Elle chute. Ma soeur et moi s'inquiétons, puis en voyant l'ombre qui est encore sur le mur, je fais regarde, c'est pas elle. Mais si, l'ombre chute aussi. Juste quelques instants plus tard. C'est horrible de raconter ça, c'est moche c'est mauvais. Ça ne se raconte pas, pas dans un blog au fond noir. Et cette fille tueuse à gages, Joe, qui a d'abord une coiffure afro, puis qui rétrécit. On se bat, je m'envole... C'est bête. Mais je revoie tout ça nettement. Elle est belle, elle m'en veut. Son père est un vieil ami à moi, et il ne sait pas s'il faut protéger sa fille ou son ami. La pulsion, elle, ou la raison, moi. Un peu comme si mon cerveau extériorisait ces deux côtés. Il fait comme moi. Il est moi.

Fini de rêver, j'ai revu cette longue voiture blanche parmi le ciel découpé dans la nuit. Ensemble de mots qui poétise, ça veut rien dire, ça semble être joli, ça veut rien dire. Apparat. La voiture ralentissait, malheureusement. Les radars la poursuivent.

Pareil, sans rapport commun aucun, j'ai dit que je suis là. Sans forcer.

Et aussi un je me souviens. Je vais devoir le recopier, pour partager les maux de ma génération, les choses qu'on a vécu, et qui vont devenir les Kennedy assassinés, les Hiroshima, les Tchernobyl, les plages de Normandie, les pubs Bonux, les séries de Zorro de notre génération. Tout, tout revient différemment, mais revient quand même.

J'ai lu dans les petits riens de Trondheim que tout était nouvelle génération sur les bases d'antan. Les boîtiers de DVD rappellent celles des cassettes, les rails des trains sont espacés selon les roues d'une charrette, et j'ai oublié le reste. Y avait plusieurs choses. J'ai zappé.
Puis y a des chansons qui me reviennent en tête. Pas des vrais, des pirates. Celles de mon père. Quand j'aurai une version propre, peut-être.
 
C'est vague, le futur. Je pensais aussi à autre chose, j'ai oublié. Mettre de l'ordre dans les pensées, c'est pas possible pour moi, c'est contradictoire. Les pensées, c'est rangé dans un fouillis que moi je ne peux pas classer, mais mon cerveau, lui, il connait les tiroirs par coeur. Code couleur, chiffre, odeur, son... Il est malin mon cerveau, il me laisse une partie fonctionnel de lui, pour me laisser croire que je suis aux commande, et c'est lui qui contrôle le reste. Le plus important. C'est peut-être pour me protéger. Je veux être foudroyé par la vérité.
 
Je (oui, je...). Veux faire une chose pour la liberté des gens. Veux faire une révolution, pas une évolution. Veux pas faire de politique commerciale. Veux avoir une vie tranquille. Veux tout pour ne rien en faire, juste savoir que je pourrais si je voulais. Mais veux pas.
 
Brouhaha, y a des trucs biens, des trucs moins biens. Pas le tri dans tout ça, ce serait fausser le hasard, ou le pencher objectivement. A-t-on pensé qu'on pouvait vivre sans travailler pour quelqu'un qui s'engraisse ?
 
Je ne sais pas si c'est vrai. Paraît que l'art, ceux qui le produisent, ils font selon la demande, sans prendre des risques en écoutant leurs tripes. Ils laissent aux indépendants, ceux qui écoutent, lisent, regardent, sentent et touchent avec leur sens et pas leur raison, produire les artistes qui ne font pas du déjà-vu, et si le public aime, on engage, signe, prolifère ces artistes, fait du copier, colle, clone, et vire après que le public aime un nouveau type d'art. 
 
C'est encore politique commerciale. N'en sortirai-je jamais ?
 
"I should have you known better."
 

"désolé Lola je n'ai pas su déchiffrer le sens
secret de tes gestes lents aérés, simulacres ou
magie futile à moins que le vide et l'ennui
ne s'emparent de toi Lolita et si cette bulle pleine
de rien voulait se crever enfin"

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Jeudi 12 mai 2011 à 1:07

 C'est comme un réveil à... à quelque chose. Peut-être pas la vie, mais la vie sociale ?
Le choix obligé entre le présent et le futur. Le long terme, choix du sacrifice. L'immédiat, inconscience de l'Après. C'est dur, c'est brutal, c'est chiant. C'est presque politique. Mais là, ça deviendrait vulgaire.
Bon bon bon courage, pour tenir jusqu'à demain soir et pour ne rien faire de dangereux.
 
Oh et puis si. Le danger et le chaos peuvent mener à l'ordre et au rangement. Après tout, pour régler la netteté d'une photo, on floute un maximum avant ! Plus le contraste est gros, mieux la rectification sera, avec moins de regrets.
Mais je n'aime pas ça, le regret. Ça donne l'impression d'avoir rater quelque chose, de vouloir revenir en arrière. Quelque part, c'est vrai. Cependant, l'affirmer, c'est presque le déni de fierté. Rien à foutre de la fierté, un mot, encore un, inventé pour se révolter plus poliment, plus doucement. Marre du conditionnement social. C'est commun, la révolte, c'est si "in", très mode, fashion. Esthétiquement parlant, c'est 'achement cool. Intérieurement ? Bah, faudrait pas risquer ma carrière. On sait jamais, je pourrai faire fortune dans une entreprise, ou devenir un artiste de renom ! Oui, ou bien une catastrophe peut réduire mon pays à néant et je serais obligé de mendier en Hollande. Dans ce dernier cas, je me suis privé pour rien, j'ai joué le chien pour avoir un sucre, qui aurait fondu dans un café noir.
 
Choix. Entre Avenir et Présent. Jouer sur l'Assurance de "ça a 5% de chance d'arriver" ou sur le Scepticisme de "ça a 95% de malchance d'arriver". Se situer entre ? Voui, mais c'est pas facile sans regret. Et le regret, ça pourri une vie. La Fierté aussi.
C'est kif-kif.

Bref



...

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Mardi 26 avril 2011 à 2:37

Parce que juste des phrases qui te sont destinées ne suffisent pas, parce qu'il faudrait intégrer le monde entier, ainsi que le passé jusqu'à cette seconde et celle qui suit, parce que un blanc ne suffit pas à dire ce que je veux dire, et parce qu'un rêve me turlupine au point de me faire douter de moi, de ce que je suis, de ce que je pense, de ce que je suis capable, et parce que et parce que the end comme la tempête, tout comme un fer chauffé à blanc en contact avec la cuisse droite attise la douleur mais ne l'exalte pas sans provoquer une sensation de bien-être quand le sang valse pour ne pas se projeter hors des veines. La vie est une musique, je le sais je le sens. Souvent, lors d'un déplacement vectoriel entre deux points (langage vulgaire scientifique), je place une vrille et un glissement d'orteils sur le sol, une sorte de danse improvisée. Cela ne gène normalement personne, quoique j'imagine bien que visuellement, tout le monde n'apprécie p'têt pas.
Mais merde.
Alors je danse la vie. Je ne la chante pas encore, j'aimerais. Deux doigts sur une corde, une main sur une coulisse, pis le pied qui frappe le sol frénétiquement chroniquement sans vouloir vraiment ressembler à quelque chose. J'y crois. J'y croyais. Maintenant je sais plus quoi croire. Toi, toi, toi, toi ? Ou bien toi ? Pas eux, ils sont trop loin et trop nombreux. Héhéhé, je ris, je danse, je pense. Doute. Bouge la tête. Talon sol talon sol talon sol talon. C'est un engouement entier, du corps et de l'esprit.
E=Mc² La matière c'est de l'énergie, et inversement. La matière, ok, on la voit, la sent. Affaire de sensoriel. Mais c'est quoi de l'Energie ? On peut voir ses applications : elle se transforme matériellement d'une façon ou d'une autre. L'action de poser un doigt sur une touche. Mais une définition ?  Y a tellement de chose à savoir, que c'est effrayant. Et s'intéresser uniquement à la science c'est beau. Mais derrière il y a le social, car il y a les scientifiques, et derrière eux, les intérêts. L'intérêt de la gloire ou de l'argent. Servier pour ne rien citer. Oui, encore, mais quoi ! C'est le plus récent exemple, ou du moins le plus présent. Et pourquoi maintenant ? Parce qu'il y a un pouvoir qui préfère que l'institut tombe. Le lien peut être facile, mais faut le faire, être au courant de ce qui se passe, et donc être présent dans tous les milieux. Que c'est épuisant, effrayant. Je n'y arriverai pas. Je n'ai pas les tripes pour ça. Je connais quelqu'un de formidablement intelligent, dans le sens où il comprend et réinterprète, retient et utilise. Mais il n'affronte pas les horreurs qu'il connait, toutes les magouilles qui se font. Il ne les aide pas non plus, sauf dans le silence. Il est complice peut-être. Il écrit des articles qui expliquent ce qu'on nous cache, mais dans un journal peu lu. Je pense qu'il veut faire tout tomber, mais sait qu'il doit y aller pas à pas. Mais il n'aura pas le temps, ni l'appui. Il s'est retiré de plusieurs cercles importants parce qu'il se sent supérieur, et il se concentre sur des choses à la fois énorme mais à l'échelle humaine. C'est étrange, il est difficile à cerner, maintenant que j'en parle. Jamais je n'aurai les bons mots pour en parler. Je le connais depuis ma dix-huit ans, je ne le connais pas assez. Il m'a expliqué comment marche le cholestérol et le mensonge à son sujet. Il m'a parlé de la philosophie européenne, et aussi de Caycédo. Mais entre une humilité et un fort égo, tout se trouble.
Pourquoi comment en suis-je venu à lui ? Peu importe, c'est le hasard. C'est l'énergie. Mais elle ne se définit pas. Merde. Et tout est faux, comme la géométrie ? Merde bis. C'est quoi la géométrie ? Des traits sur une feuille. Un trait ? Une suite de points. Un point ? Deux lignes qui se croisent. Et dans l'atome d'oxygène, trace une ligne qui lit le noyau à son électron. Une chance sur combien de milliard pour qu'elle soit valable ? Merde ter.
C'est une danse, c'est une musique, c'est pas une vie.
Alors j'ai rien à faire dans tout ça.  Ce que je peux vraiment faire, c'est imaginer. Imaginer, c'est créer. En imaginant, je peux créer un monde différent, où un mensonge serait une vérité. Axiome de ce monde : L'argent c'est le bonheur. Et de celui-ci ? Tout le monde trouvera un jour l'amour. Et celui-là ? Tout est possible. Cool. Mais ça ne changera rien au Monde. Peut-être à des gens, qui sait, plusieurs écrivains ont modifié la pensée. Mais le Monde, non, je n'y crois pas. Tout est croyable. J'y crois. J'y croyais. Je ne sais plus quoi croire.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Mercredi 13 avril 2011 à 3:29

Voilà, écrire, c'est écrire. Pas penser écrire. Tout comme l'appetito vien mangiando, l'écriture, et la sensibilité d'écriture vient en écrivant, en réfléchissant à chaque lettre à mettre, et non pas en pensant à quoi écrire, quel sujet, quel quoi ou comment et de si ou ça pour rien. C'est là, c'est hasardeux, mais ça vient. Pour moi, c'est ainsi, maintenant je le sais. Pas pour longtemps, je l'oublierai dans quelques jours, mois, ans, mais ce sera ici, sur ce post. Je suis le pigiste de mon âme. Je voudrais continuer à écrire, du coup, maintenant que je le sais. Pour moi, parce que j'aime, finalement, dire tout et rien, comme de l'écriture automatique. Venir sans comprendre comment à des sujets que jamais tu pensais pouvoir atteindre juste par l'écrit. Mais qu'ils arrivent au fil des pensées. Un blog, un pensoir publique, et organisé, malgré tout. Mais par peur de ne plus dire que des bêtises, et le sommeil venant, je noir. Une nuit, un jour, un moment, je passerai une journée à dire des choses, mais pas aujourd'hui, pas ce soir. Parce que là c'est noir. Noir, comme le désir. J'en reviens à ça, encore. Pis ça va être ensuite Lou Reed, parce qu'il sera sur les charrues. Mais ça c'est pas de l'intérieur, alors ça compte plas, ou pus. mâche gribouille et noir nouar noware. Noir comme no war.

"plus une larme ou même un cri
sortant du bec
rien à dire et rien à vivre
je ne fais que passer"

Rentrer Au Port ; Emmanuel Cabut (Mano Solo)

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Mercredi 13 avril 2011 à 2:51

Il n'est pas tard.
Je n'arrive plus à écrire. Je ne sais plus quoi dire, je ne sais plus comment dire. Comme d'habitude, c'est au p'tit bonheur la chance, mais cette fois, j'ai l'impression d'avoir vraiment perdu quelque chose. Une sensation, une émotion, une intuition, une une une... Mais c'est quoi écrire, au final ? Juste mettre des mots les uns devant les autres. Sic, encore cette dictature de la phrase. Triste il sème. Sans cent sens, s'en sent-ce ?
J'écrivais avec une sensibilité, avant. Non pas qu'elle était développée ou que ce soit un don qui me place au-dessus d'autres, ou pire, que ce soit justement un don. Juste, j'y mettais vraiment de mon coeur, je crois. Je ne sais plus. C'est trouble désormais. J'aimais écrire des blocs monolithiques de mots, de lettres, de points, surtout par trois. Puis j'ai espacé, parce que j'ai lu des mots dans des paragraphes espacés. C'était si beau, j'ai pris. Mais maintenant, je veux revenir au bloc, comme du marbre, de la pierre mal taillé, du béton réparti au hasard. Une forêt de lettres, encore vierge de tout coup d'oeil, encore non organisé par l'iris. Alors paf, je fonce, mais je m'y casse la gueule. Trop de point. Minimalisme. Trois mots suffisent. Et un point. Et un autre. Rien de plus. Comme si le point cassait le rythme de la phrase, au lieu de le mettre en exergue. A chacun d'entre eux, je m'étouffe, tente de rallonger, de faire une répétition avec des synonymes, de me répéter d'une autre manière, de dire la même chose autrement, de réécrire la phrase précédente avec d'autres mots. J'étais parti de la sensibilité et je me retrouve là. Ma sensibilité, comme on doit tous en avoir je suppose, j'en étais fier. Je la ressentais, sa présence réconfortais mes doigts qui avançaient au hasard sur le blanc. Le hasard, c'est ma façon de penser. La chance, c'est simplement du hasard vu avec bonheur. Je suis tombé par hasard sur une pièce de dix francs, quelle chance ! Par hasard, tu m'aimerais pas ? Non ? Salope, quelle déveine ! Voilà, c'est ça, le hasard. Il arrive, il prend une forme, et à nous de le cueillir comme on le voit. C'est stupide, mais c'est pour ça que je déteste effacer les traces du passé. Un dessin, une phrase, une pensée, un bout d'idée, un sentiment, un mot, une lettre, un son, tout, ça pourrait peut-être servir par hasard. La vie est fille du hasard. L'univers aussi. Alors pourquoi l'Entité Divine qui serait la cause de la première cause, ce serait pas le hasard, après tout ? Et voilà, encore perdu. Ma sensibilité, elle se perd aussi. Elle est réduite. Mais elle n'était pas assez développée pour que ce soit un désastre. D'une certaine manière, tant mieux. Perdre une sensibilité 'achement développée, ce serait comme perdre de nouveau un Lennon, un de Musset, un Koltès, un Franquin, tout ceux qui ont commencé petit avec un énorme talent, sans le savoir, et qui se sont fait bouffer par lui. Merci, je ne suis pas comme eux. Il n'y aura pas trop de peine si je perds à jamais ce avec quoi j'écris le mieux. Il y aura ma peine, mais comme c'est chacun pour soi, c'est mon problème, non ?
Je ne sais plus écrire. J'écris quand même. Paradoxe. Paradoxe S, voilà qui me paraît être un bon titre. Tout comme Hexerei, ou La Trilogie de Lameduck. Je n'arrive plus à dire correctement ce qu'il faut. Mais je crois que je ne l'ai jamais su... Mouais, ça s'trouve, c'est pas que je sais plus écrire, c'est juste que je sais que je sais pas. D'une certaine manière, ma niaire, manie R, m'a ni aire, m'âne nière... Pas de fin à cette phrase, pas bon, c'est le hasard, y a pas toujours de fin. Pis c'est tout.
Je ne sais plus écrire, mais c'est pas grave. Toi tu sais encore, tu l'as toujours su, alors n'arrête pas. N'arrête jamais. Arrêter, c'est oublier. Oublier, c'est ne plus savoir. Continue. Continue.
continue

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

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