Mondes-Perdus.Malade-Palpitant

Putain de bulle à toi aussi...

Dimanche 4 septembre 2011 à 23:46

 Intense, génial, et merde, encore Bobby et son A.

Encore. C'est con, ça fait du bien, mais là plus de bien absolu sur du mal relatif. Pourtant, ça fait un peu mal. Courtement.

La vieillesse ajoute des exigences à ce qui entoure le reste. Dû à l'expérience ?

Le temps est passé vite. Certes. Mais c'est tellement bon de dévier.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Dimanche 28 août 2011 à 15:57

Je suis content. Non non non, pas pour un truc en particulier. J'suis juste content, là, maintenant, à 15h58.

Et je crois que ça valait le coup de le dire.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Vendredi 26 août 2011 à 14:20

Comme en 24, la nuit est brève, le vent est doux. Mais la vie ne l'est plus. Elle est complexe et multiple. Elle a même changé de monde. Elle devient courte après la longueur, et maintenant elle est un souffle puissant et meurtrier. Devant, une femme bouclé aux lunettes argentées. Fronce les sourcils et se gratte le nez. Avec insistance, comme si elle réglait le problème de son écran sur son nez. Puis elle place ses mains devant sa bouche, comme une prière. Je ne sais pas ce qui peut la rendre aussi soucieuse. Ses instincts d'européenne catholique ressort inconsciemment. Inévitable. On a un héritage culturel de poids, qu'on ne peut se débarasser en se disant : "fini".

A côté, l'homme part. Il est peu resté. Juste le temps de voir. Furtif, et soucieux aussi. Sinon il ne serait pas venu.

Alors j'imagine que les gens sont ainsi. Manque de temps pour rire. Il faut rire, c'est ainsi. Ainsi. Ainsi ainsi ainsi... Sinon on va mal. Et la société va mal. Et quand on va bien quand la société va mal, le décalage est là pour nous mettre mal à l'aise. Ainsi ainsi.

Je retournerai.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Jeudi 25 août 2011 à 4:02

 Oui, je le crois. Deux lignes, ça peut suffire à tout dire. Parfois ça en dit bien plus que dix pages... Parfois non, mais la volonté y est. Mais ici, la volonté est de dire de tout dire de rien. J'ai vu un film par exemple sur Mandela. Son prénom n'est pas Nelson. Son prénom provient de la langue des Xhota (à vérifier l'orthographe exacte) où il est né. Nelson, c'est le nom chrétien que lui a donné sa maîtresse quand il est allé à l'école. Il se souvenait encore du nom de cette institutrice dans le film. Et puis il a fait avocat puis prison puis président puis symbole. Mais symbole, il l'était déjà avant. Le film expliquait mal pourquoi lui. Juste qu'il avait des qualités de leader qu'il savait parler d'une façon convaincante et que son regard effrayait les protégés de l'Apartheid. Mais rien de plus. Il était prêt à mourir pour l'égalité. Il l'a dit lui-même. D'autres aussi. Il a fait vingt-sept ans de prison. D'autres presque autant. Mais il était déjà une icone avant la prison. Il s'en fichait de qui serait président de l'African National Congress. Sa femme la seconde était tout comme lui. Enfin plutôt dans la presse tandis que lui dans la cellule.

Mais c'est bizarre. Je sais pas. Ce film m'a fait pensé Mandela comme un homme. Mais pas un mec qui serait un symbole et qui reste malgré tout humain modeste et tout et tout. non comme un homme qui est devenu symbole comme ça. Bizarre. J'suis mitigé.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

Dimanche 21 août 2011 à 3:28

Je me doute. J'émets. Un message, que je pensais avoir envoyé... Depuis le début du mois, environ... Est-il bien parti ?

J'émets le doute de l'incertitude. De l'inconnu. De l'heure.

Bonsoir.

Malade Palpitant

Divulgé par Aimepe

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