J'entends ricaner dans mon cœur
Une envie, une sombre envie
Une voix chargée de chaleur
Vibrations, stupeur et folie
Source de doutes dans ses bras
Chute de points sur cirque romain
Rien ne t'aura échappé Maria
Sauf ton destin de catin
Veux-tu bien me faire oublier ?
Moi je n'y arriverai pas
Encore, une fois encore, douter
Encore un chant creusant le froid
Perdu dans les yeux des femmes
Un sombre désir enflamme mon âme
Une envie de noir pour la terre,
L'or, l'ivoire, la peur et la mer
La vérité embrase tes armes
Car c'est elle qui clame
Celle qui retenait tes larmes
Dans tes draps de pyromane
Des tresses des illusions
Fausse ivresse pour compagnon
Le mur du son est tombé
Personne pour le redresser
Où ai-je croisé tes feux ?
A Babylone, Dallas, London.
Un crime me hante dans tes yeux
J'ai cru te voir devenir aphone
Ne reviens pas, fait comme chez toi
Mais rend-la moi, l'âme de mon corps
Allons droit dans le mur, six ou deux fois
Le Jury a souri sur ton sort
Chantez Muses, la passion humaine
Regarde où tu veux, ma Reine
De ton étoile à la souffrance
Dansez aussi pour l'indécence
Pour l'indécence... Pour l'indécence ! Mais quoi de l'indécence ! STG se sent indécent ?
"Caractère de ce qui est inconvenant" > "Déplacé, grossier."
Choc dans un petit coeur, mais sans vraiment le savoir. Fini. Le fantôme de Yoko Ono est passé en France. Elle n'est peut-être pas l'origine de la disparition des Beatles, mais elle est la flamme qui brûle la poudre. Et là, ce fut encore une femme qui fut la cause. Les femmes sont fatales. Ce doit être pour ça qu'on les aime. Elle vous brise ce que vous avez dans l'âme, sans le vouloir, mais vous leur pardonnez parce qu'elle deviennent ensuite des martyrs.
Toujours plus loin pour l'indécence. Des réminiscences à perdre haleine. Jamais je n'ai croisé vos feux. Toujours j'ai rêvé d'y croire.
Adieu, au revoir.