Mondes-Perdus.Malade-Palpitant

Putain de bulle à toi aussi...

Samedi 4 décembre 2010 à 0:11

J'entends ricaner dans mon cœur

Une envie, une sombre envie

Une voix chargée de chaleur

Vibrations, stupeur et folie

 

Source de doutes dans ses bras

Chute de points sur cirque romain

Rien ne t'aura échappé Maria

Sauf ton destin de catin

 

Veux-tu bien me faire oublier ?

Moi je n'y arriverai pas

Encore, une fois encore, douter

Encore un chant creusant le froid

 

Perdu dans les yeux des femmes

Un sombre désir enflamme mon âme

Une envie de noir pour la terre,

L'or, l'ivoire, la peur et la mer

 

La vérité embrase tes armes

Car c'est elle qui clame

Celle qui retenait tes larmes

Dans tes draps de pyromane

 

Des tresses des illusions

Fausse ivresse pour compagnon

Le mur du son est tombé

Personne pour le redresser

 

Où ai-je croisé tes feux ?

A Babylone, Dallas, London.

Un crime me hante dans tes yeux

J'ai cru te voir devenir aphone

 

Ne reviens pas, fait comme chez toi

Mais rend-la moi, l'âme de mon corps

Allons droit dans le mur, six ou deux fois

Le Jury a souri sur ton sort

 

Chantez Muses, la passion humaine

Regarde où tu veux, ma Reine

De ton étoile à la souffrance

Dansez aussi pour l'indécence



Pour l'indécence... Pour l'indécence ! Mais quoi de l'indécence ! STG se sent indécent ? 
"Caractère de ce qui est inconvenant
" > "Déplacé, grossier."
Choc dans un petit coeur, mais sans vraiment le savoir. Fini. Le fantôme de Yoko Ono est passé en France. Elle n'est peut-être pas l'origine de la disparition des Beatles, mais elle est la flamme qui brûle la poudre. Et là, ce fut encore une femme qui fut la cause. Les femmes sont fatales. Ce doit être pour ça qu'on les aime. Elle vous brise ce que vous avez dans l'âme, sans le vouloir, mais vous leur pardonnez parce qu'elle deviennent ensuite des martyrs.

Toujours plus loin pour l'indécence. Des réminiscences à perdre haleine. Jamais je n'ai croisé vos feux. Toujours j'ai rêvé d'y croire.

Adieu, au revoir.http://mondes-perdus.malade-palpitant.cowblog.fr/images/Photosh/Nd.jpg
 

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

Samedi 20 novembre 2010 à 2:42

A quoi servira l'aide aportée
Si le nom reste oublié
Dans les yeux de la vie
j'entrevois la mort
mais une fois devant l'Ultime
je retourne à la vie.

Poupées de sang
De chair et charmant
Goûtant sans passion
Au sommeil de la vie
Oubliez sensations
Prenez place dans l'oublie.



Sans part, sans main,
Fait agir ton destin
A la grâce humaine
Contre la mort sereine
(Ne vois-tu rien venir... ?)
 



La lune éclairait mes pensées
Durant la nuit effarée.
Je n'ai pu m'effacer
Pour noyer mes peurs cachées.

J'étais assis, j'étais transi
Devant la nuit ébahie.
Je n'ai pu partir d'ici
Pour brûler mes pleurs endormis.
 
Toucher à tout, ne sentir rien
Croire sans voir, n'être plus qu'un
Chasser l'ivoire, vendre l'étain
Tout enlacer, début et fin.

A l'éternel, buvons. N'oublions pas.
 


Voit un univers
dans un grain
de sable


Le ciel dans
une fleur
sauvage

Tenir l'Infini
dans la paume
de sa main

Et l'éternité
dans une
heure.

[William Blake]

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

Vendredi 5 novembre 2010 à 21:46

Je vous parle du Diable, d'un sourire passé dans une réalité si vite remplacée par un accord secret signé, soigné, bien rangé et hop oublié.

Et cet imbécile qui fait voeu de silence...


 
Je vous parle du Diable...

Ils rigolent...

Ce n'est pas une fable...

 
Ils ignorent...

En êtes-vous capables ?

Ils s'agitent...

Mais c'est nous les coupables !

Ils répriment...


__________
                    Parlez de ce que vous préférez
mais je dis
JE VEUX VIVRE____________________


 
Ce n'est pas un état permanent
J'ai la sensation de perdre mon temps
Heure minute seconde qui s'écroulent
Vanité contagieuse fondée pour la Foule

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

Vendredi 20 août 2010 à 1:43

C'est l'histoire d'un marin-poète, un écrivain raté dans la tempête.

Il regarde passer les flots, puis se fait chasser sur "au boulot" ! Ce n'est pas toujours évident, d'être un marin poète dans le vent. Jamais vraiment aimable, le lieutenant l'envoie sur les râbles, à l'équilibre pour repeindre en acajou, la douce et belle figure de proue.

Mais quelle merveille de pouvoir admirer tant de choses, d'être dans la pluie le vent et s'y sentir en osmose ! Rien de mieux pour raviver l'âme perdue, au gré des usures de la rue. On s'y perd tout d'abord, puis s'y retrouve alors, si la vérité éclaire la voie, qu'emprunte l'âme en soi.

Certes si certains officiers sont blessants, le capitaine n'est ni aigre ni contrariant. Sans cérémonie il offre à sa table, une place pour toute personne aimable, loin de la cruauté véridique coulant sur le bois, à l'abri d'un regard glacé suivi par un cortège de narquois.

Mais même devant l'eau azurée glacée, les pensées du coeur peuvent pleurer. Sur le quai une femme attend le marin-poète, une femme qui elle seule regrette. Elle pleure d'une séduisante aventure, envoyant son poète dans l'obscur, l'empêchant de lui offrir des murmures, de ce passé naît le futur.

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

Mardi 29 juin 2010 à 14:52

et pends-moi si tu peux
engendre la méiose
sans distinction être heureux
étendre la psychose
à tes yeux d'hirondelle
s'engouffre la stupeur
un rien de querelle
arrive déjà l'heure

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

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