Vendredi 29 janvier 2010 à 20:34
Dans la grandeur du ciel, telle une population
Les astres lumineux s'éparpillent partout.
Ils dirigent de loin, sans grand égard pour nous
Ils aiment néanmoins nous nourrir de passions.
S'il m'était permis de conter ma peine
Je m'exclamerai de toute mon âme
Mais la liberté étant à la Reine
Mes mots s'éteindront pour ceux de la Dame.
Et sans ce regard sourd
Je n'y vois guère de jour.
Si loin de vous, mes yeux,
C'est là où souffre Dieu...
Dimanche 3 mai 2009 à 15:17
Non, le titre n'a rien à voir avec le sujet... J'avais juste en tête le mot "rêve freudien" et le reste s'est écrit presque seul. C'est magique, la pensé. On arrive à croire qu'on la contrôle, alors que c'est sûrement elle qui le fait. Prisonnier de nos pensées, parfois. Prisonnier de notre pensée, toujours. Et pourtant... Si on s'y abandonne, on se laisse mourir de désespoir, ou de bonheur pour certains. Et si on s'y rebelle, la folie nous emporte. L'ignorer est la solution de beaucoup de personne, à ma connaissance. Mais ma connaissance est basé sur une généralité. Et les généralités sont généralement fausses...
Je vois dans ton jeu
Je ne comprend pas ce que tu veux
Quand je vois en moi
Je ne comprend toujours pas
Crois au bonheur, tu n'y es pas
Pendant que je veux croire en toi
Car si le malheur est irréversible
La chaleur d'un autre corps le rend invisible
A, c'est trouvé
H1, c'est touché
N1, c'est coulé...
Imbécilité et l'argent a la clef
I see in you
And I don't understand what you want...
When I see me
I don't understand again...
Again...
Again...
Samedi 14 mars 2009 à 20:28
Je ne sais pas, peut-être un élan d'envie, ou de calme... Une envie de calme, aussi. Du jaune, beaucoup, avec de l'orange ! Et du marron pour faire sombre dans le fond. Ma toile de la guerre. Le jaune pour le soleil, qui brille au fond des guerriers, pour ne pas dire assassins ou victimes. Du jaune pour l'espoir qu'ont ces hommes à vouloir vaincre pour revenir chez eux. Jaune encore, pour leur yeux, qui recherchent cette couleur et cette lueur dans le rouge et le gris omniprésent. De l'orange pour ce désir qu'ils possèdent de ne penser qu'à leur patrie et leur famille. L'orange pour les familles des ennemis qui se composent de la même manière que la leur. Et du marron, parce qu'ils voient l'horreur, tout de même. Un peu de marron, pour eux, les pions des dirigeants...
Putain de boue.
Putain de tout.
Tu ne deviendras bijoux
Qu'une fois sorti de ton trou.
Noir Désir te suit de quelques pas,
Les militaires y vont avec joie.
Le champs de bataille est une maison,
Ta chambre est remplie de cons sans raison.
Que tu sois le premier ou le dernier
Tu seras tout de même un des blessés.
Alors que ceux d'en haut
Ils te tournent le dos.
Cherche pas au Paradis
La récompense pour ta vie.
Cherche pas le Paradis,
Il n'est là que le temps de ta vie.
Inventé par les Hauteurs,
Qui n'oublient pas l'heure.
Ils sortent de leurs bureaux
Pour aller jusqu'au bistrot.
Rien ne t'empêche de jeter ton arme
A part la raison qui dirige ton âme.
Celle-là même qui est l'imagination
Qui te permet de voir la punission en action.
Cesse de regarder
Va plutôt déserter
Tu seras plus vite mort
Le repos de ton corps