Mondes-Perdus.Malade-Palpitant

Putain de bulle à toi aussi...

Vendredi 10 août 2012 à 5:47

 Elle est marrante elle. J'vous jure, j'en ai un paquet à vous dire là-dessus. 



Une pensée de fond frôle l'onirique

Sur le chant des violons rouges d'Armorique.

Rien ne m'occupe, profitant de l'heure,

Je la prends, tout dupe d'un brillant bonheur.

 

 

Libre insouciance, je te laisse partir

Las de croyance toute à découvrir

Vers tes désirs sableux de création

Rejoins-la, vertueux de l'illusion.

 

 

Je reviens couvert encore de beauté

Laissée au vent à l'air de tes doux baisers

Qui rigolent pendant que le sang palpite

Aux couleurs contondantes de l'adipite.

 

 

J'halète l'air déchu des embrassades

En tentant sans chahut d'ouïr notre Iliade :

De tout cœur mon corps tremble d'une absence

Car nul faux-décor n'imitera ta présence. 

 

 

Ma folle Princesse se perd et s'éprend,

Imitant déesses, d'amour incohérent.

Mes lettres telles des langueurs océanes

S'usent que j'épelle ton prénom : Diane

 

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

Mercredi 8 août 2012 à 0:38

 Si les étoiles étaient miennes j'irais sur la lune pour regarder la seule qui vaille d'être observée. Tant par amour, tant par reluquage, tant par esthétisme. T'sais j'crois pas qu'il y ait des étoiles plus belles que d'autres, mais t'en as toujours une qui t'attire en première. Et une autre ensuite, quand elle s'efface. C'est l'œil qui s'avance, on n'sait. C'est le reste qui part. 

Parler d'étoile, c'est Rome antique. Ça séduit des gens. Faut avoir la musique dans le dos pour le ressentir. Elle te prend par les épaules, remonte à la crinière, te fout un coup de vent sur le dessus et t'es mort. Chatoiement.

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

Mercredi 27 juin 2012 à 17:35

Croire en une dernière chance
Apportée par la mer en dérive
Marche au pas, soldat d'enfance !
Il est l'heure de délivrer la captive
L'heure de sonner la tempête et l'ouragan
Ensuite reviens et songe à tes actes violents.

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

Mercredi 27 juin 2012 à 4:34

 Do Sol Mi
Lalalalala
Mi Fa Ré
Lalalalala
Quand je traîne un peu là-bas
La passion me prend d'aller par chez toi.
On m'a dit que t'étais morte
Juste en bas de ta porte
Et c'est faux je le crois
Car je t'ai vu un peu là-bas.
Que veut-tu ?
Je le sais
Mais je ne ferais pas...
On me l'a dit bien trop souvent
Un peu trop par là-bas.
Je m'explique
Je t'en veux
Tu me dois bien trop de chose
Et le temps passe
Et la mort s'oppose
À l'avancée de tes pas.
Mais je t'ordonne que rien n'y fasse
Tout s'envole
Rien ne se casse.


Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

Mardi 26 juin 2012 à 13:29

 Tendres lèvres de la victoire
Douce aubaine ce soir de beau jour
Il est venu sans attendre
Foudre blanche aux coquelicots.
Clytemnestre effacera ma mémoire.
Farouche blanche au plus près des yeux
Tu rougis tant si loin de la raison
Il s'éloigne encore bien plus
Il est à toi
Il t'appartient
Il t'est.

Maudit Poète

Divulgé par Aimepe

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