Morte Peinture, je t'avais oubliée. Je te ramène à la vie. Ainsi j'ai dit.
Ça. Ce truc. (J'aime pas, hein. Mais bon, ça rejoint ce que j'ai pu faire en couleur il y a quelques mois.) C'est un paysage. Je ne sais pas dans quel sens.
Ça à présent. C'est une réutilisation de chiffre de Jasper Johns.
Là c'est de la couronne de Jean-Michel Basquiat.
Et là du chien de Keith Haring.
Je crois que je les ai déplacés dans un espace de valeurs et qu'il y a eu un effet de mimétisme.
Mondes-Perdus.Malade-Palpitant
Putain de bulle à toi aussi...
Dimanche 20 janvier 2013 à 2:52
Divulgé par Aimepe
Samedi 19 janvier 2013 à 4:29
C'est fait.
Sacrepuchement fait.
Mais j'ai rien compris.
J'ai rien compris.
J'peux pas résumer. J'peux pas non plus ouvrir ma vie à chacun, comme ça. Pas ça. Ou pas à tout le monde. Toi tu peux, j'pense.
Mais... Comment faire pour devenir une chose qui rentre dans un emploi du temps. Si ce qu'il faut, c'est que tout soit organisé, même le futur, et que c'est effrayant d'entrer dans du "flottant". Comment rentrer dedans sans être "imprévisible" ? Mesde. Mesde. Mesde. Je comprends pas ce que je dois faire ni comment réagir. C'est encore plus flou comme barrière. J'ai l'impression d'être la Lune qui attend le Soleil. Mais le Soleil n'est pas là et la Lune ne le sait pas. Mais il n'est pas là parce qu'il ne veut pas. Il n'est pas là parce que ce n'est pas le chemin prévu. Il faut l'éclipse. Je veux l'éclipse. Je la veux permanente sur cent ans.
Je ne crois pas et n'ai jamais cru à ces histoires de fin du monde. Mais si ça se faisait, ou du moins le chaos, ce serait plus simple d'entrer par la porte d'entrée de quelqu'un qui ne peut que recevoir par la porte arrière. Même si elle donne sur le jardin vert, avec deux fleurs. Une jaune et une rouge. Trois arbres avec un hamac entre deux. Et un gros, gros soleil aux yeux rouges, au sourire rouge, et aux cheveux oranges.
Mesde.
J'n'ai eu le droit qu'à une goutte lacrymale. Le reste est resté.
Sacrepuchement fait.
Mais j'ai rien compris.
J'ai rien compris.
J'peux pas résumer. J'peux pas non plus ouvrir ma vie à chacun, comme ça. Pas ça. Ou pas à tout le monde. Toi tu peux, j'pense.
Mais... Comment faire pour devenir une chose qui rentre dans un emploi du temps. Si ce qu'il faut, c'est que tout soit organisé, même le futur, et que c'est effrayant d'entrer dans du "flottant". Comment rentrer dedans sans être "imprévisible" ? Mesde. Mesde. Mesde. Je comprends pas ce que je dois faire ni comment réagir. C'est encore plus flou comme barrière. J'ai l'impression d'être la Lune qui attend le Soleil. Mais le Soleil n'est pas là et la Lune ne le sait pas. Mais il n'est pas là parce qu'il ne veut pas. Il n'est pas là parce que ce n'est pas le chemin prévu. Il faut l'éclipse. Je veux l'éclipse. Je la veux permanente sur cent ans.
Je ne crois pas et n'ai jamais cru à ces histoires de fin du monde. Mais si ça se faisait, ou du moins le chaos, ce serait plus simple d'entrer par la porte d'entrée de quelqu'un qui ne peut que recevoir par la porte arrière. Même si elle donne sur le jardin vert, avec deux fleurs. Une jaune et une rouge. Trois arbres avec un hamac entre deux. Et un gros, gros soleil aux yeux rouges, au sourire rouge, et aux cheveux oranges.
Mesde.
J'n'ai eu le droit qu'à une goutte lacrymale. Le reste est resté.
Divulgé par Aimepe
Vendredi 18 janvier 2013 à 21:24
Bon, je vais le faire ce soir.
Je sais qu'elle a déjà depuis la première minute où elle a commencé déjà oui fait son choix. Je ne suis pas dedans. Alors si je vais tenter de jouer de la guitare avec ses cordes sentimentales, je sais que c'est sûrement et assurément pour le dernier morceau. Celui que tu fais quand le public en redemande. Et alors tu fais un rappel. C'est marrant comme les termes vont bien. Redemande et rappel. Mais bon, le public après repart, chez lui, avec pour autre compagnie que soi-même. Soi-même est "le seul qui [nous] tienne tout au long de notre vie" (J.-B. Pontalis), sans partir. Il se plaint de nous, et on voudrait bien qu'il s'éloigne un peu. Mais bon, c'est pour la vie.
Basquiat au pouvoir.
Un trop plein de Mano Solo n'est peut-être pas bon comme bande musicale pour parler de tout ça avec elle. J'ai que ça pour l'instant. Parce que mon trois envahit mon air. Et les vues sur l'esprit de l'air n'a pas l'air d'être si bu. Des trucs comme ça. Ainsi la syncope commence.
Mais finalement, c'est repoussé à plus tard. Mais le plus tôt sera le mieux.
Je sais qu'elle a déjà depuis la première minute où elle a commencé déjà oui fait son choix. Je ne suis pas dedans. Alors si je vais tenter de jouer de la guitare avec ses cordes sentimentales, je sais que c'est sûrement et assurément pour le dernier morceau. Celui que tu fais quand le public en redemande. Et alors tu fais un rappel. C'est marrant comme les termes vont bien. Redemande et rappel. Mais bon, le public après repart, chez lui, avec pour autre compagnie que soi-même. Soi-même est "le seul qui [nous] tienne tout au long de notre vie" (J.-B. Pontalis), sans partir. Il se plaint de nous, et on voudrait bien qu'il s'éloigne un peu. Mais bon, c'est pour la vie.
Basquiat au pouvoir.
Un trop plein de Mano Solo n'est peut-être pas bon comme bande musicale pour parler de tout ça avec elle. J'ai que ça pour l'instant. Parce que mon trois envahit mon air. Et les vues sur l'esprit de l'air n'a pas l'air d'être si bu. Des trucs comme ça. Ainsi la syncope commence.
Mais finalement, c'est repoussé à plus tard. Mais le plus tôt sera le mieux.
Divulgé par Aimepe
Vendredi 18 janvier 2013 à 19:54
C'est un bordel, hein ? Un sacré foutu bordel. C'est encore une voie pré-conçue que je poursuis. J'attends, j'attends pour suivre et tailler la mienne. Pourquoi pas maintenant, hein ? Bah parce que y a des murs en carton qui bloque l'herbe à tailler. J'ai une faux, mais j'ai pas de quoi frapper les murs. J'ai pas de force. Contre tout et malgré tout, je vogue sur le fleuve, attendant qu'il me déporte sur le côté de la savane. Je vois des animaux d'ici. Il y en a certains qui m'ont déjà mordu. Petit enfant je suis et petit enfant je n'avais pas de défense. Je ne veux pas devenir chasseur, mais si c'est le seul moyen de survivre, je serai. Pourtant, j'aime les fauves. Mais il ne faut pas approcher la mère de famille. Mes mains s'en souviennent. Ces mains qui tailleront ma route un jour peut-être.
Divulgé par Aimepe
Jeudi 17 janvier 2013 à 18:46
Ça se rapproche, tout se rapproche. Comme un tube d'aspirine effervescent se rapproche de la surface d'huile d'un verre long et fin. Samedi, puis jeudi. Les dates sont proches et n'ont pas de liens entre elles. Samedi c'est elle, jeudi c'est eux. Mes spectateurs. Je serai le noir taureau fou et enragé, qui devra montrer hargne et férocité d'esprit. Ils jugeront de ma performance et me lanceront du rouge. "Ce n'est pas du rouge, c'est du sang." Qu'ils diront. Et la foule rira. La foule rit toujours sous les projecteurs. Une fois dans l'ombre ils prennent leur argent et se tirent à grands coups de hot-dog et autre nourriture à consonance américaine tandis que tout vient d'ailleurs. Même la terre.
Une mise à terre, c'est bien ça qu'il faudra. C'est comme si je partais une patte en moins. Peut-être même deux. Je n'ai plus rien à leur offrir que ce que j'ai montré, sauf peut-être une corne qui a repoussé. C'est dur de comprendre, hein ? C'est la dure loi des bilans.
Une mise à terre, c'est bien ça qu'il faudra. C'est comme si je partais une patte en moins. Peut-être même deux. Je n'ai plus rien à leur offrir que ce que j'ai montré, sauf peut-être une corne qui a repoussé. C'est dur de comprendre, hein ? C'est la dure loi des bilans.
Divulgé par Aimepe