Mondes-Perdus.Malade-Palpitant
Putain de bulle à toi aussi...
Jeudi 1er août 2013 à 22:57
Désolé encore pour le moment jaloux. T'as ta vie, moi la mienne. C'est que j'aime bien quand les deux se mélangent.
Ouais, c'est lourd d'y revenir encore. Mais je sens, je ressens tellement notre éloignement. On s'est éloignés. On est éloignés. (Et c'est pas la répétition de phrase qui va changer quoi que ce soit.) Physiquement, sûr. Sentimentalement... Après une rupture, un réengagement de façon contractuel et sans limite déterminée, des discussions qui montrent que tu préfères pas trop t'engager par peur. Peur pour moi, pour toi aussi j'pense. Normal. Peur de donner loin pour rien de concret. Sûr. On est pas vraiment concrets tous les deux. On a toujours un truc, un "boulet d'attachement", qui nous empêche de concrétiser, et un autre d'éloignement. Deux boulets ? Non, vraiment, c'est trop. Et pourtant, j'me sens voler. P'têt parce que cette fois, c'est moi qui ai l'attachement. C'est plus facile de voir à côté que de prendre à autrui, non ? Goûter ou dérober, y a une différence.
Ouais, c'est lourd. C'pour ça que j't'écris pas ça directement. Que je dis ça ici. J'aimerais que tu tombes ici. Que tu sois touchée, émue, sensible, réactive face à ce "ici". Surtout celui-ci. Mais j'te sens loin. Par rapport aux débuts. Mais les débuts, c'est toujours plein de fougue, d'envie. C'est la nouveauté. Maintenant ça en devient banal. Plus besoin de répondre des "Gnnnnnn, ça marche pas ta téléportation !" ou des "J'aimerais bien moi aussi". Ça serait s'engager trop loin pour quelque chose qui EST trop loin. Pourtant moi, j'aimerais. Ça ferait frétiller ma verve, pour reprendre les chants de nos origines. (Pas que la verve, ce serait réduire la réalité du frétillement.)
Sur le chemin des demoiselles,
Je regardais les yeux au ciel,
Quand dans un rire nuageux
Tu m'as dit : eh ben moi je veux.
Dis, j'te crois. J'suis jaloux par nature. C'est l'imagination qui titille mes pensées et qui me montre des choses pas vrais, mais que j'aime pas. La jalousie, serait-ce un manque de confiance ? S'que, parce que je t'imagine charmée par d'autres, je manque de confiance ? Je crois, pour ma défense, que c'est parce que je vois ta valeur. Que j'ai peur que d'autres la voit. Que je sais ma propre valeur n'est pas grand chose. Je ne doute pas que tu m'aimes (pas le Grand Amour hein, c'trop tôt si un jour on connaît ça), mais je doute qu'il s'épanouisse par l'absence. Alors certes, je garde une grande part de cet amour des origines en moi. Pourquoi pas toi, dans ce cas ? Parce que je le sentais, mais plus à présent. Ce fut trop subit, peut-être.
Oui, oui, je vais retenter ce qui t'as provoqué la chose. Venir sans prévenir. Comme ça d'un coup. Même si j'suis sûr que tu t'en doutes. J'ai dit ça et ça. T'es pas bête et j'suis prévisible. Est-ce que ça va éclore à nouveau, c'est la question.
Sur le long chemin du Fangeat,
Qui m'était bien court avec toi,
Je délaissais au loin l'humour
Pour goûter un peu au glamour.
Alors quoi, au final. Pourquoi ce long monologue désespéré ? Ces questions lacunaires ? Ces rimes réchauffées ?
Parce que à deux c'est mieux. Donner de l'amour quand l'autre n'en montre plus, c'est con. Et t'aimes pas les cons, dis.
En direction de ton château,
Je me sentais comme un rhino,
Portant à toi l'action fatal
D'une corne vertébrale.
Ouais, c'est lourd d'y revenir encore. Mais je sens, je ressens tellement notre éloignement. On s'est éloignés. On est éloignés. (Et c'est pas la répétition de phrase qui va changer quoi que ce soit.) Physiquement, sûr. Sentimentalement... Après une rupture, un réengagement de façon contractuel et sans limite déterminée, des discussions qui montrent que tu préfères pas trop t'engager par peur. Peur pour moi, pour toi aussi j'pense. Normal. Peur de donner loin pour rien de concret. Sûr. On est pas vraiment concrets tous les deux. On a toujours un truc, un "boulet d'attachement", qui nous empêche de concrétiser, et un autre d'éloignement. Deux boulets ? Non, vraiment, c'est trop. Et pourtant, j'me sens voler. P'têt parce que cette fois, c'est moi qui ai l'attachement. C'est plus facile de voir à côté que de prendre à autrui, non ? Goûter ou dérober, y a une différence.
Ouais, c'est lourd. C'pour ça que j't'écris pas ça directement. Que je dis ça ici. J'aimerais que tu tombes ici. Que tu sois touchée, émue, sensible, réactive face à ce "ici". Surtout celui-ci. Mais j'te sens loin. Par rapport aux débuts. Mais les débuts, c'est toujours plein de fougue, d'envie. C'est la nouveauté. Maintenant ça en devient banal. Plus besoin de répondre des "Gnnnnnn, ça marche pas ta téléportation !" ou des "J'aimerais bien moi aussi". Ça serait s'engager trop loin pour quelque chose qui EST trop loin. Pourtant moi, j'aimerais. Ça ferait frétiller ma verve, pour reprendre les chants de nos origines. (Pas que la verve, ce serait réduire la réalité du frétillement.)
Sur le chemin des demoiselles,
Je regardais les yeux au ciel,
Quand dans un rire nuageux
Tu m'as dit : eh ben moi je veux.
Dis, j'te crois. J'suis jaloux par nature. C'est l'imagination qui titille mes pensées et qui me montre des choses pas vrais, mais que j'aime pas. La jalousie, serait-ce un manque de confiance ? S'que, parce que je t'imagine charmée par d'autres, je manque de confiance ? Je crois, pour ma défense, que c'est parce que je vois ta valeur. Que j'ai peur que d'autres la voit. Que je sais ma propre valeur n'est pas grand chose. Je ne doute pas que tu m'aimes (pas le Grand Amour hein, c'trop tôt si un jour on connaît ça), mais je doute qu'il s'épanouisse par l'absence. Alors certes, je garde une grande part de cet amour des origines en moi. Pourquoi pas toi, dans ce cas ? Parce que je le sentais, mais plus à présent. Ce fut trop subit, peut-être.
Oui, oui, je vais retenter ce qui t'as provoqué la chose. Venir sans prévenir. Comme ça d'un coup. Même si j'suis sûr que tu t'en doutes. J'ai dit ça et ça. T'es pas bête et j'suis prévisible. Est-ce que ça va éclore à nouveau, c'est la question.
Sur le long chemin du Fangeat,
Qui m'était bien court avec toi,
Je délaissais au loin l'humour
Pour goûter un peu au glamour.
Alors quoi, au final. Pourquoi ce long monologue désespéré ? Ces questions lacunaires ? Ces rimes réchauffées ?
Parce que à deux c'est mieux. Donner de l'amour quand l'autre n'en montre plus, c'est con. Et t'aimes pas les cons, dis.
En direction de ton château,
Je me sentais comme un rhino,
Portant à toi l'action fatal
D'une corne vertébrale.
Divulgé par Aimepe
Mardi 9 juillet 2013 à 0:16
Je suis un bâtard. Si si, c'est vrai.
Mais j'suis un bâtard adulte qui fait ses choix, et les assume. Alors j'assume ce titre. Yeah !
Mais j'suis un bâtard adulte qui fait ses choix, et les assume. Alors j'assume ce titre. Yeah !
Divulgé par Aimepe
Lundi 1er juillet 2013 à 2:05
Voilà qu'j'viens là pour mon dépotoir à noirceur. Dites, c'est que j'pensais pas qu'c't'endroit-là c'tait pour ça. J'pensais qu'j'venais simplement pour dire des trucs, mais pas qu'ça d'viendrait le lieu de mes heures blanches et des rats dans la tête. Pis v'là qu'j'ai tout bon dans ma p'tite vie, et qu'j'viens plus parler. Pis v'là qu'j'pense à des trucs qui m'mettent mal et qu'j'reviens. Tss. Bon, c'pas comme si j'pensais pas revenir. Loin d'là. Nop. Nop nop non. Mais j'pensais pas m'absenter trop en fait. Pis qu'ça fait quatre mois quand même. M'direz, quatre mois sur quatre ans, c'est que dalle. Mais d'autant que je m'en souvienne, j'ai jamais fait trop long en absence. Alors c'tait comme si j'avais abandonné l'navire. Mais point. Point.
Pis qu'j'regarde Starbuck aussi. Un film québécois, encore un qui m'fait frissonner. J'sais pas c'qu'ils ont les scénaristes, réalisateurs, acteurs, tout ça québécois, mais ils fonctionnent bien. Ouaip. Tellement qu'j'parle dans ma tête avec un d'ces accents. J'aime.
Alors maint'nant. Que je reprenne. J'suis en relation avec nom de code K-E. Wah. Une vraie, pas à distance, avec l'tout. Une grande première quoi. Mais j'arrive pas à pousser la chose plus loin. J'suis point en amour, j'crois. J'aime bien être avec elle, mais c'est plus une amitié poussée. Très poussée, oui. C'est même moi qui ait un peu poussé les pions pour que ça se déroule ainsi. Je crains d'être une horrible personne. Elle semble bien, et c'est sa première relation qui ressemble à quelque chose. Mais je suis une horrible personne. Je dis ça pour que dans vos têtes, vous pensiez que je me sens minable et qu'ainsi vous veniez me réconforter. Ah, ça marche ? Tant pis. Depuis avril donc. Depuis le jour où Lady Di fut célibataire pour la première fois depuis pas mal de temps. Alors oui, peut-être parfois j'ai pensé à une autre. L'horrible personne apparaît. K-E est parti en début de semaine, on se retrouvera en octobre. Et depuis, j'ai plus pensé à Lady Di qu'à autre chose. Boum. Paf. Parce que j'ressens la terrible mour que je peux pas avoir le droit. Parce que pour ma raison c'est clair : rien d'sérieux avant d'être plus proche géographique. Pis du coup j'oublie que je vais faire du mal à une autre. Qui peut me soutenir dans mes pourtant extra-conjugales pensées. Pas toi, t'as pas l'droit. Et je t'en veux point, c'est l'jeu. 'fin tout ça, et ce gris nuage qui me fait revenir ici me soulager. Peuh. Peuh !
Et ces comics mal cinématographiés.
Pis qu'j'regarde Starbuck aussi. Un film québécois, encore un qui m'fait frissonner. J'sais pas c'qu'ils ont les scénaristes, réalisateurs, acteurs, tout ça québécois, mais ils fonctionnent bien. Ouaip. Tellement qu'j'parle dans ma tête avec un d'ces accents. J'aime.
Alors maint'nant. Que je reprenne. J'suis en relation avec nom de code K-E. Wah. Une vraie, pas à distance, avec l'tout. Une grande première quoi. Mais j'arrive pas à pousser la chose plus loin. J'suis point en amour, j'crois. J'aime bien être avec elle, mais c'est plus une amitié poussée. Très poussée, oui. C'est même moi qui ait un peu poussé les pions pour que ça se déroule ainsi. Je crains d'être une horrible personne. Elle semble bien, et c'est sa première relation qui ressemble à quelque chose. Mais je suis une horrible personne. Je dis ça pour que dans vos têtes, vous pensiez que je me sens minable et qu'ainsi vous veniez me réconforter. Ah, ça marche ? Tant pis. Depuis avril donc. Depuis le jour où Lady Di fut célibataire pour la première fois depuis pas mal de temps. Alors oui, peut-être parfois j'ai pensé à une autre. L'horrible personne apparaît. K-E est parti en début de semaine, on se retrouvera en octobre. Et depuis, j'ai plus pensé à Lady Di qu'à autre chose. Boum. Paf. Parce que j'ressens la terrible mour que je peux pas avoir le droit. Parce que pour ma raison c'est clair : rien d'sérieux avant d'être plus proche géographique. Pis du coup j'oublie que je vais faire du mal à une autre. Qui peut me soutenir dans mes pourtant extra-conjugales pensées. Pas toi, t'as pas l'droit. Et je t'en veux point, c'est l'jeu. 'fin tout ça, et ce gris nuage qui me fait revenir ici me soulager. Peuh. Peuh !
Et ces comics mal cinématographiés.
Divulgé par Aimepe
Samedi 20 avril 2013 à 2:09
Allez. Un peu de nouvelles fraîches. Des vrais. Que depuis des mois j'élude. Pas vrai ça. Mais presque. Parce qu'en fait il y a plein de trucs.
Poum. Lundi. Le soir. Je reçois un message. NouvElle se manifeste. Bram rendez-vous le lendemain pour parler sérieux et sûrement tester un truc. Tout heureux et timide de cette réussite. Quelques minutes plus tard, j'apprends bram que Lady la Di venait de tout casser de son côté avec son Ka. J'suis pas sûr qu'on puisse imaginer facilement une telle chose, sauf si on accepte le fait que je sois un enfant du Trois. (C'pas comme un Élu, par contre.)
C'est-à-dire que, intervenant dans leur relation à deux, nous fûmes trois. Et jusqu'à maintenant, même si c'était plus ou moins gelé, j'y étais encore dans ce trois. Et là, au moment où j'arrive à me scinder de ce deux pour devenir deux moi-même, y a ce premier deux qui se coupe. Provoquant un nouveau trois de mon côté. (Puisqu'évidemment, on est resté en bon contact.) Ça devient compliqué, non ? Bah le pire, c'est que j'aurais pensé réagir nerveusement, prenant de nettes décisions. Au lieu de ça, je suis calme et serein. Tout va pour le mieux à ce niveau.
On s'est pas beaucoup vus seuls. La fois pour dire "on est timides tous les deux, on ose pas en parler, on est potes ça va faire bizarre mais tant pis, on va voir", et une fois pour manger, avant d'aller à une soirée d'amis. Donc pas grand chose au niveau contact. Et j'dois avouer, la timidité tue. Pas même de baiser. Bram. Ça viendra la semaine prochaine. Dès mardi j'espère. (Absence oblige.)
Aparté. Toujours une pensée pour Toi, parce que c'est dur.
J'écris des dialogues. C'est si simple des dialogues que c'en est franchement dégoûtant parce que j'ne sais pas s'ils sont bien. J'avais jamais pensé à de la dramaturgie avant. Pis là. C'est venu. Je sais pas ce que ça vaut. Pas du tout. L'histoire d'un être humain qui arrive dans une contrée où les gens cherchent. Sans jamais trouver, généralement. L'être humain tombe sur un autre être humain qui, lui, cherche trouve et cherche autre chose sans arrêt. C'est un peu un marginal, un sage, le mal, un fou... Je ne sais pas. Puis l'être humain tombe sur un autre être humain encore, et qui l'attire. Alors il va l'aider à trouver ce qu'il cherche, pour qu'ils puissent être ensemble. Mais l'être humain qui cherche ne sait pas ce qu'il veut, et quand il trouve, il n'aime pas ce qu'il trouve. Alors il trouve autre chose à chercher. Le premier être humain lui, ne sait rien. Il ne comprend rien, plutôt. Il sait ce qu'il veut, je crois : être aux côtés de l'autre être humain. Sans gnangnantise. Mais il ne cherche pas pour lui, demande même pour trouver... Et le sage/fou/mal qui prend tout en dérision, qui donne des clés pour des portes qui mènent dans un néant.
Évidemment, ils sont trois. Hommes ou femmes ou mixte, peu importe. Ils sont trois, mais ne se voit qu'à deux. En coupant en trois par trois.
Enfin, je le posterai plus tard.
Poum. Lundi. Le soir. Je reçois un message. NouvElle se manifeste. Bram rendez-vous le lendemain pour parler sérieux et sûrement tester un truc. Tout heureux et timide de cette réussite. Quelques minutes plus tard, j'apprends bram que Lady la Di venait de tout casser de son côté avec son Ka. J'suis pas sûr qu'on puisse imaginer facilement une telle chose, sauf si on accepte le fait que je sois un enfant du Trois. (C'pas comme un Élu, par contre.)
C'est-à-dire que, intervenant dans leur relation à deux, nous fûmes trois. Et jusqu'à maintenant, même si c'était plus ou moins gelé, j'y étais encore dans ce trois. Et là, au moment où j'arrive à me scinder de ce deux pour devenir deux moi-même, y a ce premier deux qui se coupe. Provoquant un nouveau trois de mon côté. (Puisqu'évidemment, on est resté en bon contact.) Ça devient compliqué, non ? Bah le pire, c'est que j'aurais pensé réagir nerveusement, prenant de nettes décisions. Au lieu de ça, je suis calme et serein. Tout va pour le mieux à ce niveau.
On s'est pas beaucoup vus seuls. La fois pour dire "on est timides tous les deux, on ose pas en parler, on est potes ça va faire bizarre mais tant pis, on va voir", et une fois pour manger, avant d'aller à une soirée d'amis. Donc pas grand chose au niveau contact. Et j'dois avouer, la timidité tue. Pas même de baiser. Bram. Ça viendra la semaine prochaine. Dès mardi j'espère. (Absence oblige.)
Aparté. Toujours une pensée pour Toi, parce que c'est dur.
J'écris des dialogues. C'est si simple des dialogues que c'en est franchement dégoûtant parce que j'ne sais pas s'ils sont bien. J'avais jamais pensé à de la dramaturgie avant. Pis là. C'est venu. Je sais pas ce que ça vaut. Pas du tout. L'histoire d'un être humain qui arrive dans une contrée où les gens cherchent. Sans jamais trouver, généralement. L'être humain tombe sur un autre être humain qui, lui, cherche trouve et cherche autre chose sans arrêt. C'est un peu un marginal, un sage, le mal, un fou... Je ne sais pas. Puis l'être humain tombe sur un autre être humain encore, et qui l'attire. Alors il va l'aider à trouver ce qu'il cherche, pour qu'ils puissent être ensemble. Mais l'être humain qui cherche ne sait pas ce qu'il veut, et quand il trouve, il n'aime pas ce qu'il trouve. Alors il trouve autre chose à chercher. Le premier être humain lui, ne sait rien. Il ne comprend rien, plutôt. Il sait ce qu'il veut, je crois : être aux côtés de l'autre être humain. Sans gnangnantise. Mais il ne cherche pas pour lui, demande même pour trouver... Et le sage/fou/mal qui prend tout en dérision, qui donne des clés pour des portes qui mènent dans un néant.
Évidemment, ils sont trois. Hommes ou femmes ou mixte, peu importe. Ils sont trois, mais ne se voit qu'à deux. En coupant en trois par trois.
Enfin, je le posterai plus tard.
Divulgé par Aimepe