Titre n°83 : Son son, son song

Par eclat-de-reves le Jeudi 24 mars 2011 à 12:14

"oui mais c'est toujours comme ça avec les jamais. Ne jamais dire toujours. Toujours écrire jamais, ne jamais le respecter."

Vrai. Vrai. Vrai. Vrai. Et re-vrai.
Juste parce que cette ligne de mots m'a claquée très fort dans la tête. Vieux souvenirs, nouveaux regrets. Mais on ne change rien aux souvenirs, hein. Une fois que c'est passé, c'est passé. Faut passer avec.
J'aime bien les phrases entre guillemets aussi. Elles me semblent familières, c'est bizarre. A contre temps, contre courant. Jamais en adéquation. Toujours aux opposés. Vite, un bisou.

Aie. Ton article, il remue des tas de trucs.

Et puis, c'est con à dire mais s'il te plait, tu veux bien prendre soin de toi? On se connait pas. Mais tes heures de post sont hallucinantes depuis quelques jours et il faut dormir. Pas sur que la créativité soit au maximum quand on approche des douze heures de veille. Si ?

Je suis aussi la petite abeille qui se prend tous les remous d'ailes de ces copines déjà loin devant. Et pour le moment.. je crois que je pense choisir une autre fleur. Pas la plus belle, pas la plus douce en nectar. Non, juste celle qui me conviendra. A distance atteignable. Au goût agréable. Le temps d'arrêter de battre des ailes, de me reposer. et de ne pas rester engluée dans un vol sans fin vers une fleur qui, peut être, se sera desséchée avant que j'y arrive. C'est bien aussi, non ? Ou est ce que çà fait de moi une petite abeille sans ambition ? C'est la question qui me tarabuse.

Par eclat-de-reves le Jeudi 24 mars 2011 à 12:16

Une petite remarque de correction : ce n'est pas douze heures, en fait. Plutôt soixante douze. Parce qu'en général, tout le monde tient douze heures de veille. çà me semblait bizarre aussi, à la relecture.

Par eclat-de-reves le Vendredi 25 mars 2011 à 17:37

Disons que.. de rien. Inquiétude surement un peu "trop" mais c'est comme çà. Les codes sociaux, çà m'ennuie. Autant dire les choses comme elles sont, non? J'essaie en tout cas. Sinon je me tais. Et le silence, c'pas forcément sain. Comme le fait de tout dire.
Bref, je me perds dans mon labyrinthe là. Où c'est qu'elle est, Ariane ?!

Une petite abeille sans ambition qui s'en va voler vers sa fleur, elle en a quand même. Et l'ambition, qu'est ce? Quand t'atteins pas, tu te casses les ailes. Quand t'atteins, t'es heureux. Entre les deux, t'agis. C'est peut être pour çà qu'on parle d'ambition à toutes les sauces. Pour agir. Se donner des buts, c'est donc avoir de l'ambition. Dis voir, çà fait de moi une personne avec ambition! Donc mon moi-abeille est une petite abeille qui vogue vers sa fleur. Avec ambition. Comment çà s'appelle cette figure de style? Machin est un cheval blanc. Truc achète machin donc Truc a un cheval blanc. Je sais pu, çà me faisait penser à des poupées russes cet assemblage de phrases!

Waw, j'aime ce genre de dissertation. :D
Tant pis, je retrouve pu le terme et si çà continue je risque de fermer toutes les fenêtres sans avoir posté mon commentaire chez toi! :O
Donc si çà me revient, je te dirai ou même si tu vois ce dont je veux parler, hésite pas à me sortir de mon ignorance !

Par xa le Mercredi 31 juillet 2024 à 0:59

Par sa le Mercredi 20 novembre 2024 à 18:09

Mondes-Perdus.Malade-Palpitant

Putain de bulle Ã toi aussi...

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